Philippe Virolle est diplômé de Philosophie. Influencé par Dickens, Ibsen ou Gide, sensible au classicisme, il est également musicien.

DE L'AUTEUR
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Rencontre avec... Philippe Virolle

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon second livre est toujours un recueil de nouvelles courtes. Certaines sont autobiographiques et d’autres sont de pures innovations. Enfin certaines sont un mélange de faits réels et de faits imaginés. Le fil rouge de toutes les nouvelles reste l’abandon, l’absence et l’inquiétude de l’être qui se cache derrière l’étant.

2. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Chez les écrivains : Gide, Jouhandeau, Maupassant, Dickens, Malot, Ibsen, Strinberg, Hamsun.
Chez les philosophes : Levinas, Heidegger, Cioran, Conche, Malraux, Nietzche, Jankélévitch, Ricœur.
Chez les poètes : Rimbaud, Lagerkvist.
Chez les musiciens : Mozart, Beethoven, Schubert, Weber, Haendel, Haydn, Verdi, Puccini, Monteverdi.

3. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Stupeur et tremblements » d’Amélie Nothomb.

4. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Généreux, profond, drôle. Je suis une porte qui grince mais qui reste ouverte.

5. Quelle est votre citation favorite ?

« Si tu remplis le vide, tu n’auras nulle part où aller. » probablement de Lie Zi.

6. Quel est votre mot préféré ?

« Reconnaissance ».

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Regarder de mon bureau, mon jardin un après-midi d’hiver avec une musique douce.

8. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

« Cyrano de Bergerac » d’Edmond Rostand.

9. Stylo ou clavier ?

Stylo et carnet de notes, clavier pour le reste.

10. Le mot de la fin ?

Le temps perdu avec un enfant ne se rattrape jamais. L’amour ne nait jamais de l’absence, elle est la pire violence, elle est l’incompréhensible, elle est immonde c’est à dire ce qui ne fait plus monde.