Thème : Sexualité)

Réveil de nos perceptions extrasensorielles, nos 7 champs d’énergie

« Il nous est possible en effet de créer une ouverture sur un autre monde, au-delà de nos contacts physiques. La prise en compte de nos supracapacités méconnues nous amène à percevoir notre environnement de façon différente, à découvrir et exploiter l’énergie potentielle qu’il contient. Nous pouvons diagnostiquer des troubles fonctionnels exprimés au niveau physique et les éliminer à distance.»

L’auteur, à l’âge de 12 ans, a été saisi par la notion d’une communion universelle. Cette révélation orientera sa vie et déterminera son choix professionnel.
Partant du principe que notre compréhension ne se limite pas à nos cinq sens, il invite dans son ouvrage à aller à la rencontre d’une réalité divergente, à accueillir la découverte d’un univers dont l’énergie, aux frontières illimitées, est à notre disposition.
Au fil du temps, René Bertora apprendra à contrôler les états de conscience qui lui permettront d’explorer, puis de maîtriser les différentes gammes vibratoires émises par notre corps ainsi que par notre environnement.

Le voyage intérieur des aliments : De la bouche au cerveau pour notre bien-être

« Nous verrons que le cerveau, donc le neurone, a des besoins spécifiques, qui diffèrent de ceux des autres cellules de divers organes du corps. Et le cerveau, grâce à ses neurones, produit ses propres molécules, appelées neurotransmetteurs, qui sont synthétisées à partir de certains nutriments. Est-ce qu’une alimentation spécifique peut améliorer le fonctionnement du cerveau ou le préserver d’une contreperformance ou d’une défaillance, augmenter ses performances ou le mettre à l’abri de certaines maladies cérébrales liées à une déficience ou à un défaut de neurotransmetteurs ? »

Il existe un lien étroit entre l’énergie du soleil et celle contenue dans les aliments (ou l’énergie des aliments), cette énergie est nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme. Cet ouvrage l’explique et détaille également, avec beaucoup de clarté et de pédagogie, la façon dont les nutriments sont assimilés par toutes les cellules du corps et plus particulièrement les neurones.

La dépendance à l’alcool : l’art-thérapie au cœur du dépassement

« On ne combat pas l’addiction ou la dépendance, on « capitule » devant elles. N’oublions pas qu’elles sont toujours plus fortes que nous : psychiquement et physiquement.
Elles gagnent toujours.
L’acte symbolique permet de matérialiser concrètement ces comportements impalpables. C’est en pratiquant régulièrement ces actes – et malheureusement, pour beaucoup de personnes addictives : à vie – que le lien à la substance se réduit, se déplace, se transforme, et se sublime.
C’est la reconstruction.
Réparer, reconstruire, créer, méditer : prendre soin de soi. »

L’addiction alcoolique, une maladie encore sous-estimée, entraîne sa victime dans le cercle infernal de la solitude et de la dépression. À travers ces pages, l’auteure fait part de son expérience, sans fard, et nous confie que l’espoir est là, bien vivant, recroquevillé dans un coin. En acceptant aide et accompagnement thérapeutique, on peut trouver la force de le laisser se déployer pour enfin quitter l’enfer.

Planète healthy girl

« Nous tentons de parcourir l’espace, nous rêvons au-delà de notre planète, alors que l’espace que nous devons conquérir est notre Espace Intérieur. Notre imagination peut nous plonger à l’intérieur de cette Merveille qu’est notre corps, à commencer par la cellule, c’est elle qui nous maintient en vie, qui prend soin de nous en se régénérant encore et encore. »

« Un esprit sain dans un corps sain » : l’adage est bien connu et pour atteindre ce Graal personnel, l’auteur partage avec nous son mode de vie basé sur une alimentation équilibrée et une attention particulière accordée à soi-même et à son environnement. Dans ce guide bien-être émaillé de spiritualité, le lecteur trouvera des conseils d’alimentation, de sport et de philosophie à appliquer facilement au quotidien afin de s’engager sur un chemin plus proche de la nature.

Le murmure des hommes

« Très vite, j’ai pris goût à être désirée. Ces hommes qui viennent et qui reviennent, vieux ou jeunes, tous cherchent, dans le fond, la même chose, un peu d’écoute et de chaleur. »

Comment devient-on dame de compagnie ? Issue d’une famille stricte, Victoria enchaîne les déceptions amoureuses et les petits boulots. Alors que s’accumulent les mésaventures financières et médicales, elle tente une nouvelle vie et poste sa première annonce.

Lucide et bienveillante, elle témoigne de ces rencontres qui jalonnent son quotidien. Qu’ils soient riches, pauvres, timides ou arrogants, ses clients ont tous un point commun : la solitude. Plus qu’une relation tarifée, c’est un soutien moral qu’elle dispense. Si elle partage aujourd’hui son expérience, c’est pour que son travail soit considéré à sa juste valeur, loin de toutes les idées reçues. Marchande d’amour, elle entend pouvoir prodiguer ses charmes à tous, sans différenciation d’âge ou de statut.

Sans concession

« Il n’empêche, l’affaire a pris une telle ampleur, la petite amie de l’agresseur a été la nounou d’un des neveux d’un terroriste rentré de Syrie, elle est elle- même musulmane et… »

À l’issue d’une réunion des principaux journalistes de la chaîne de télévision franco-quatari « Bien Chez Vous », l’équipe apprend l’arrestation d’un de leurs collaborateurs, accusé d’apologie du terrorisme après que son enfant eut refusé de respecter la minute de silence lors de la récréation. La situation est bien évidemment irréaliste… Mais l’est-elle vraiment ?
Dans cette nouvelle théâtrale, Christophe Agogué poursuit sa réflexion sur la société démocratique de normalité. Drôle et cynique, il invoque l’absurde pour caricaturer les médias et les libertés publiques. Avec humour et humeur, il dénonce notre monde fragilisé par ses certitudes morales et par la peur de la différence. Sans concession, la férocité de son propos n’a d’égal que sa finesse.

La chirurgie du bonheur

« Je n’étais pas plate, mais ma poitrine ne me correspondait pas. Le corps que j’ai aujourd’hui, c’est “ mon ” corps. Le corps que j’avais autrefois, avant l’intervention, n’était pas “ le mien ”. Et même quand je regarde d’anciennes photos, ce n’est pas moi, ce n’est pas mon corps que je vois. »

Injustement pointée du doigt, la chirurgie esthétique est encore régulièrement décriée par les médias. Pourtant, dans notre société où le culte de l’image et la course à l’éternelle jeunesse sont incontournables, le rapport à soi est souvent conflictuel et le recours aux actes esthétiques de plus en plus fréquent. Mais cette pratique ne sert-elle qu’à embellir le corps ?
Pour réhabiliter le bien-fondé de la chirurgie esthétique, Éric Plot et Frédérique Flamand nous en décrivent les bienfaits. En s’appuyant notamment sur des témoignages et de véritables histoires de vie de patientes opérées, ils démontrent qu’une vision de soi positive est un des piliers de l’estime de soi. Avec ce livre, les auteurs prouvent que la chirurgie esthétique peut aussi être source de bonheur…