« Ibrahim la regardait jouer, habillée d’une simple tunique couleur safran, les mains aux doigts effilés posés sur la lyre et l’archet, sa bouche humide d’où sortait une voix douce tel un soupir. »
Rhodes, 1567. Les Ottomans dominent la Méditerranée au prix de guerres d’une violence inouïe. Zarah, jeune esclave juive, va bouleverser l’existence d’un riche marchand turc dont les bateaux sillonnent les mers, abritant dans leurs ventres de fabuleuses marchandises. Dans ce monde où règnent la peur et les querelles, les croyants de toutes confessions parviendront-ils à cohabiter et à s’entendre, en liant leurs destins au long des routes maritimes ?
Fanny Fallert, native d’un village perché sur les bords de la Méditerranée, partage sa vie entre France, Italie et Grèce, guidée par sa passion des civilisations anciennes.
"Zarah" est un voyage. Les paysages, l'époque, les cultures... tout dans ce roman nous transporte hors du temps. Évasion assurée.
Ce roman m’a transporté, dans l’espace et le temps. Il m’a appris beaucoup de choses, d’un point de vue historique, botanique, tout en étant un message d’espoir. Pour moi, c’est une réunion entre la série des « Angélique » (Angélique Marquise des anges,…) : amour, aventures, danger, sensualité et la série des « Outlander » : connaissances en herboristerie, pharmacopée, histoire d’amour de premier abord impossible (mais rien n’est impossible). Plongez-y sans hésiter !