Thème : Elections, mobilisation électorale, campagnes

Vadémécum

« Quand on est Patriote, Républicain et Démocrate, donc Indépendant, on a le droit et le devoir de résister aux gaspillages, aux déviations monarchiques, au clanisme et soutenir les réformes négligées par les politiciens élus.
On a le devoir de défendre le respect de la citoyenneté et de l’équité, de l’action envers le pouvoir d’achat des plus défavorisés et enfin de protéger et d’exiger le respect des règles démocratiques. »

L’auteur ne peut se résoudre à voir son pays se désintégrer. À ceux qui critiquent mais s’abstiennent ou votent par dépit, il répond : « vous êtes le problème. » Car beaucoup attendent l’homme politique providentiel, mais il n’existe pas. Certains pensent que la France est perdue, mais il est temps de se réveiller et d’agir contre les manipulations oligarchiques.
La France a les atouts pour se redresser. Des personnalités responsables peuvent changer la politique et doivent être soutenues. L’histoire montre que rien n’est définitif et que le peuple français est plein de ressources.
Avec bon sens et pragmatisme, sans idéologies ni communautarismes, il est possible de proposer des réformes pour protéger les Français et leur redonner la souveraineté. L’Alliance pour une Démocratie Authentique offre cette opportunité. Un élan national peut redonner à la France ce qu’elle n’aurait jamais dû perdre. Rendez-vous aux urnes pour soutenir une Union Sacrée nationale.

Dictionnaire des partis politiques en République de Guinée

« De nos jours, le multipartisme est devenu le système partisan le plus dominant dans le continent, et depuis quelques années, le paysage politique de nombreux pays africains est caractérisé par la multiplication de manière incontrôlée de ces partis. Les pays de l’Afrique de l’Ouest sont de véritables exemples de cette prolifération des partis dans le continent et la République de Guinée n’échappe pas à cette réalité. »

Le multipartisme en République de Guinée voit le jour avec l’adoption de la loi L 91/1003 du 23 décembre 1991 portant modification du nombre de partis politiques susceptibles d’être constitués. Cette avancée majeure a permis de garantir, en théorie, la liberté et l’égalité politique. Cependant, nous assistons depuis plusieurs décennies à une multiplication incontrôlée de partis en tous genres.
Cette première édition est un outil au service des chercheurs, étudiants, observateurs électoraux, acteurs politiques et citoyens. Avec près de 200 entrées, l’ouvrage propose un vaste panorama du pluralisme partisan. Il permet de comprendre (dans certains cas) l’historicité, les choix idéologiques, les offres politiques, les trajectoires des leaders et parfois les transformations ou disparitions des partis politiques.

Quelles perspectives pour les processus électoraux en République de Guinée ?

« Un processus électoral est avant tout une affaire politique et l’introduction de toute la technologie du monde n’en change pas la nature. Le rôle des Institutions reste primordial dans la crédibilité d’un processus et donc dans la légitimité des autorités alors élues. »

Expression démocratique par excellence, l’élection est aussi un moment de grande fébrilité politique. De plus en plus malmené ou contesté, le vote ne semble plus suffire pour garantir la légitimité des autorités alors élues et le temps pour exercer sa citoyenneté devient ainsi un véritable défi pour ceux qui l’organisent. À l’image de nombreux pays sur le continent africain, la République de Guinée n’échappe pas à cette dynamique et aux tensions électorales qu’elle induit.
Saïkou Oumar Baldé et Mathieu Mérino exposent les principales questions inhérentes à l’organisation des prochaines élections de sortie de Transition en Guinée et mettent en perspective différents travaux relatifs aux processus électoraux.