Le hasard a voulu qu’Abdellaziz Ben-Jebria commence sa scolarité l’année de l’indépendance de sa Tunisie natale. Ses admirables enseignants lui avaient inculqué la passion de la littérature française et de la poésie arabe. Il rêvait déjà d’écrire. Le destin l’a ensuite mené à une carrière de recherche biomédicale internationale, avant de lui laisser quelque loisir pour se consacrer à sa passion de l’écriture.
Pouvez-vous nous présenter votre livre ? Après mon premier livre autobiographique, «Les Périples de l’Enfant de Ksiba», dont la chronologie s’arrête au moment de ma retraite, ce second, «Tunisie d’Amours, que reste-t-il de tes beaux jours», fait suite au premier, mais situe l’aspect biographiqu...
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