Fondateur d’une association théâtrale et caritative à l’âge de 19 ans, directeur d’accueil de loisirs, Jean-Jacques Sautron a été malmené par la maladie au point de devoir arrêter la plupart de ses activités. Durant ces sombres périodes, ses refuges ont été l’imaginaire et l’écriture, comme en témoignent les deux volets des « Gens bizarres ».