Thème : Biographies

Les chemins de la destinée

« Paul Bouillot est un homme ordinaire avec ses qualités et ses défauts. Toute sa vie, il va enrichir ses connaissances avec cette soif de tout savoir, les sciences humaines, l’histoire, la géographie, la psychologie, l’astronomie et bien d’autres choses encore. Il aime résoudre les mystères de l’histoire. Bien sûr, il ne peut pas tout savoir et cela le désole, mais sa passion guide ses actes et l’amène à changer de direction. »

Mêlant souvenirs et anecdotes, poèmes, tableaux et photographies, ce récit d’une existence met en lumière le parcours d’un autodidacte passionné. Dernier né d’une famille de mineurs, Paul Bouillot a travaillé lui aussi à la mine avant de devenir gérant d’un restaurant puis directeur d’un ensemble instrumental.
Une vie consacrée aux arts, un artiste raconté par son épouse, Les chemins de la destinée sont ceux que foule Paul Bouillot, multi-instrumentiste, professeur, chef d’orchestre, compositeur, peintre et poète. Un chemin aux mille facettes, guidé par l’amour des arts et de ses semblables.

L’Avant-père

« Ce qui m’intéresse le plus, c’est ce personnage que j’aimais profondément, personnage à la fois exigeant, personnage bourru, rebelle, affectueux et quelquefois entier… malheureusement atteint trop tôt par la maladie et le handicap… Ce qui m’intéresse le plus, c’est son cheminement personnel, ce qui l’a amené progressivement à faire ou à ne pas faire… »

La vie de nos parents recèle des facettes qui nous demeurent pour partie inconnues : les mystérieux temps d’avant notre naissance.
Jehan Coquebert de Neuville a entrepris cette recherche ou, comme il le dit pudiquement, cette « reconstitution » d’une existence dont la trame lui avait échappé, celle de son père. Carnets de notes, photographies, cartes postales, attestations diverses, livret militaire forment quelques-uns des maillons visibles de cette chaîne de vie. Lorsque les éléments manquent, l’imagination prend le relais. Ce minutieux travail d’archéologie familiale dévoile la personnalité du père et permet au fils, surpris, ému souvent, de mieux se comprendre lui-même. La devise des Coquebert de Neuville, Fortis ubique, y prend également tout son sens.

Mon musée imaginaire – II

« Ces personnages d’exception ont des origines modestes ou puissantes. Ce qui compte à mes yeux, c’est qu’ils ont donné une richesse à leur vie. Avant même d’avoir changé ou profondément influencé le monde, ce qui est le cas de nombre d’entre eux, ils ont d’abord façonné leur destin personnel »

Dans ce deuxième « Musée imaginaire », Christophe Agogué poursuit l’exploration de son panthéon personnel et continue à nous livrer les noms de celles et ceux qui l’ont inspiré. Dans cette forêt de personnages connus et moins connus, suivez le chemin tracé ou errez au hasard, la (re)découverte n’en sera que plus belle.

Parcours atypique d’un autiste

Après quelques minutes d’observation de mon comportement, ce médecin fut le premier à diagnostiquer l’autisme. Il rassura ma mère en l’informant que les troubles qui m’envahissaient s’atténueraient.

Après une enfance difficile et semée d’embûches, Aurélien est diagnostiqué autiste Asperger à l’âge de 14 ans. Dans ce livre, il nous dévoile un parcours tortueux à travers les différentes structures d’accueil spécialisées dans les troubles qui l’affligent. Il témoigne avec sensibilité d’une évolution progressive de sa personnalité, à son rythme, toujours accompagné par une famille courageuse et déterminée à mettre toutes les chances de son côté.

Il a coécrit ce témoignage avec Catherine Rosse, sa mère.

Mon musée imaginaire

Jusqu’au bout Colette aura été une femme libre, au caractère bien trempé, non conformiste et bien évidemment courageux. L’Eglise catholique lui refusera un enterrement religieux : c’est le meilleur hommage qu’elle pût rendre à cet être hors du commun. Colette ou une certaine idée de la littérature au féminin.

Quels sont les points communs entre Astérix le Gaulois, l’astronaute américain John Young, le cardinal de Richelieu, le chanteur Mick Jagger ou encore le philosophe Jean-Paul Sartre ?

Ici, l’auteur s’essaie à un exercice bien différent de ses précédents ouvrages, et rassemble plus de 80 noms propres de lieux et de personnages, réels ou fictifs, à travers un musée imaginaire.

Éclectique mais au goût sûr, il nous dévoile ses choix puisés dans l’histoire, la littérature, les sciences ou les arts, le sport ou le théâtre, justifiés par la seule passion. À la façon d’un Panthéon personnel non exhaustif, ce recueil se construit comme un dialogue intime, à parcourir d’une traite ou à consulter ponctuellement, au gré et selon le rythme qu’il plaira à chacun de s’imposer. C’est un compagnon de route, un témoin culturel, une invitation au débat et à l’échange : en somme, un espace de vie et de partage de ses coups de cœur et réflexions.