Rencontre avec... Alain Poueymarie

- Pouvez-vous nous présenter votre livre ?
Il s’agit d’une pièce de théâtre policière reprenant le whodunit à l’anglaise, avec un nombre limité de personnages, réunis dans un lieu clos et confrontés à un meurtre, pour lequel ils doivent mener l’enquête, bien que chacun d’entre eux soit suspect.
- Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?
C’est une invitation à découvrir la solution d’une énigme au travers de la narration d’une histoire qui doit surprendre par sa résolution tout en en donnant les éléments au lecteur avisé et intéressé.
- Quelles sont vos sources d’inspirations ?
Principalement John Dickson Carr et Ellery Queen, deux auteurs reconnus comme des maîtres incontestés du genre du roman à énigme.
- Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?
Enfant ma mère m’a fait lire « Le meurtre de Roger Ackroyd » d’Agatha Christie. C’est ce qui a déclenché ma passion pour le roman policier à énigme (très différent du roman noir policier auquel je n’accroche pas du tout par exemple). J’écrivais d’ailleurs, enfant, des petits romans sur des cahiers d’écolier.
- Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?
- Histoire: je suis passionné par l’histoire des pays et des dynasties de France, d’Angleterre, d’Espagne, ainsi que celle des Habsbourg et des Romanov.
- Théâtre : je vais régulièrement au théâtre (que je préfère nettement au cinéma) et je joue moi-même depuis 2012 dans une troupe de théâtre amateur.
- Enigmes : j’aime tout ce qui met au défi l’esprit de recherche et de déduction, que ce soient les ouvrages, les jeux, les escape games ou encore les mots croisés aux définitions retorses.
- Quelle est votre citation favorite ?
« Nous pouvons nous plaindre parce que les rosiers ont des épines, ou nous réjouir parce que les épines ont des roses ».
Et toutes les morales des fables de Jean de la Fontaine, qui sont de vraies leçons de vie.
- Quel est votre rituel d’écriture ?
Je pars d’un synopsis détaillé qui présente le squelette de l’histoire, donc sans la partie dialogues. Les personnages y sont décrits ainsi que leurs interactions. Les lieux sont précisés pour la partie ambiance. Enfin je note les indices et les fausses pistes pour la partie solution qui doit être une surprise pour le lecteur.
Souvent les idées me viennent lors de longues promenades ; je les note sur un carnet que j’ai toujours avec moi.
- Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
J’ai deux autres pièces terminées : « À réveiller un mort » et « La mort avance masquée ». Je suis en cours d’écriture d’une quatrième pièce « Crime en double ».
- Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?
Je souhaitais avoir un avis objectif sur la pièce que j’avais écrite et j’ai fait des recherches sur internet. J’ai aimé le nom « Éditions du Panthéon » et j’ai bien accroché en naviguant sur le site.
- Le mot de la fin ?
Au mot « Fin » je préfère « À suivre »