Le 13 octobre 1996, le corps d’Angélique Dumetz, 18 ans, est retrouvé dans la forêt de Compiègne. Le meurtrier laisse une unique trace : son ADN. A l’époque, il n’existe aucun fichier national des empreintes génétiques : la famille de la victime entame alors un combat pour la création d’une telle banque de données. Dans un récit retraçant l’avènement de la police scientifique et la naissance de la première cellule française dite « cold case », l’auteure rend hommage à ces parents dont la quête de vérité a fait date dans l’histoire judiciaire française.
Profondément marquée par la vie et l’œuvre de Janusz Korczak, qui perdit la vie dans le ghetto de Varsovie, Murielle Bellier-Kant a construit son parcours autour de la défense des droits de l’enfant.
Dans ce récit aussi prenant que douloureux, Murielle Bellier-Kant, relate le long processus judicaire qui a mené à la vérité sur le meurtre d’Angélique Dumetz, commis il y a de cela 22 ans. Cette quête de vérité permettra la création d’un fichier national des empreintes génétiques, une première dans l’histoire judiciaire française.
Retrouvez la revue de presse de Murielle Bellier-Kant.
je viens de suivre l’histoire de cette jeune Angelyque et de sa famille , je lirais ce livre que je vais me procurer , quel courage !!