« J’aurais aimé, avant de m’engager sur la voie du concours, qu’on me prévienne qu’être enseignant aujourd’hui, ce n’est pas ce qu’on imagine, ce n’est pas ce qu’on a connu. »
L’autrice a choisi d’enseigner par vocation. Une conviction qui s’est heurtée aux réalités du terrain. Entre complexités et absurdités administratives, manque de supervision, absence de soutien de sa hiérarchie, la jeune professeure a vu le désenchantement grandir, en même temps que l’édifice éducatif vacillait de plus belle autour d’elle. Comment alors redresser la barre ? Est-il encore possible d’y parvenir ? Retournons sur les bancs de l’école pour appréhender l’enjeu.
Déconstruire les clichés et admettre aussi les errements, Juliette Avril dresse un portrait sans concession de l’institution. Elle soutient que l’école est le projet de toute une société, et qu’il commence à la maison par l’éducation donnée par les parents et se poursuit par l’apprentissage et l’accompagnement de professionnels reconnus à leur juste valeur.
Dans ce récit, Juliette Avril déconstruit les clichés sur le monde éducatif et nous invite à la suivre dans une salle de classe à la rencontre des élèves et de leurs professeurs.
chère Juliette, c’est très courageux d’écrire sur un sujet qui suscite autant de débats aujourd’hui.
Merci de partager votre expérience du mode éducatif pour éclairer l’échec de ce système responsable, malheureusement, de notre situation économique et sociale.
Félicitations !