« Pendant des années, ce mal au ventre a été mon compagnon de route, la manifestation physique d’un poids bien plus lourd à porter : une enfance empreinte de silence, de peur, et de questionnements. »
« Maman j’ai mal. J’ai peur. Je ne veux pas retourner à l’école. ». L’auteure a 7 ans lorsqu’elle prononce ces mots. Dans ce témoignage bouleversant, elle relate comment les douleurs de son enfance sont devenues le point de départ d’un voyage intérieur empreint de détermination. Entre les silences d’un père absent, la force d’une mère courageuse et les blessures invisibles d’un héritage familial, l’histoire explore les liens qui nous façonnent et les fardeaux que nous portons parfois malgré nous.
Le récit met en valeur la force intérieure face à un mal-être profond, où la douleur physique incarne des blessures émotionnelles et transgénérationnelles. Par le pardon et la réconciliation, il célèbre notre pouvoir à se libérer des chaînes.
Esther Benichou utilise depuis l’enfance les mots pour traverser les épreuves de la vie. Son premier ouvrage, « Maman, j’ai mal au ventre ! », explore les fragilités secrètes. Aujourd’hui, praticienne en psychogénéalogie et analyse transgénérationnelle, elle transmet son parcours pour éveiller les consciences et encourager d’autres voix.
Le témoignage bouleversant d'Esther Benichou explore avec puissance les blessures transgénérationnelles et la résilience.  Une véritable ode à la guérison et à l'amour de soi.
Un livre bouleversant et plein de vérité. Esther arrive à mettre des mots sur des douleurs que beaucoup taisent.
Elle essaye de guider au maximum les personnes à retrouver leurs lumières.
Merci à elle.
En lisant le livre d’Esther je ne m’attendais pas à ce que cela me bouleverse.
À travers ces lignes j’ai ressenti de très fortes résonances et une délivrance. J’y ai vu plus claire sur ce que je savais déjà et sur ce que je soigne activement depuis une dizaine d’années.
J’ai accepté que le mal être dont je souffrais depuis l’enfance a été le résultat d’une incapacité à respirer librement dans mon environnement familial. Cette sensation d’étroitesse et d’étouffement perpétuel pendant l’enfance m’a causé une trajectoire de vie portée par l’anxiété et la vigilance constante et en quelques sorte m’a privé d’une enfance joyeuse. Porter des états d’être aussi douloureux depuis l’enfance ne devrait pas être un début de vie pour aucun être humain. Ce livre m’a rassuré car j’ai compris que je n’étais pas seule à avoir vécu une détresse silencieuse. La sincérité qui transperce ses mots ont réussi dans mon cheminement à me faire encore plus intégrer que je n’avais pas mérité d’accumuler par la suite des dynamiques relationnelles toxiques et des états d’être si lourd. Que cela avait été la conséquence de troubles du comportement et d’une incapacité à se sentir en sécurité dans ce monde. La dépendance au monde extérieur était donc le fruit de tous mes besoins étouffés enfant et d’un environnement qui malgré lui m’a fait croire que je n’avais pas le droit d’exister et simplement d’être moi même. Ce livre m’a permis de complètement déculpabiliser sur ces sujets.
Enfin le point final est que j’ai pu comprendre plus en profondeur que ma grand mère avait caché toute sa vie des traumas et par ce fait me les avait légué.
La simplicité avec laquelle Esther raconte son histoire rapproche de l’humain, nous fait sortir du mental que le développement personnel impose parfois par sa nature. Un chef d’œuvre.