La Rose Noire fait de l’émerveillement son moteur. Parce que refaire le monde avec fantaisie et humour est un défi nécessaire, il casse les codes avec ses vers pétris de sensibilité et de drôlerie.

DE L'AUTEUR
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Rencontre avec... La rose noire

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

C’est un livre que j’ai écrit en étant sûr que j’y mettais bien le pouvoir émotionnel des poésies. La poésie qui est à l’intérieur traverse beaucoup de sujets différents bien que certains reviennent plus fréquemment comme l’amour, les déceptions, la mort ou encore les vers adressés à des personnes particulières.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pour beaucoup d’entre elles, elles sont dans la musique notamment dans la chanson française avec Lara Fabian, Jacques Brel, Edith Piaf ou encore Charles Aznavour. Mais évidemment, en tant que poète, j’ai des influences poétiques de Charles Baudelaire avec ses Fleurs du mal ou encore Alcool d’Apollinaire.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Ce sont des professeurs de lettres qui m’ont donné envie d’écrire, les livres sont, pour moi, source soit de réflexion soit de détente ou les deux à la fois. Ils sont rarement les moteurs pour me pousser à écrire.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Les trois mots que j’utiliserais pour me décrire sont : Imprévisible, rêveur et ambitieux.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Jean d’Ormesson : « Merci pour les roses, merci pour les épines ». C’est une citation que j’aime dans ce qu’elle est fidèle à la réalité de la vie. On peut se retrouver face aux hauts et aux bas mais les deux nous permettent de grandir et d’évoluer donc, on doit avoir autant de gratitude pour l’allégresse que pour la tristesse.

  1. Quel est votre mot préféré ?

J’hésite toujours entre le mot « ectoplasme » ou « étendard ». « Étendard » laisse entendre le jeu de mots possible « étang d’art » qui me plaît beaucoup.

Après tout, l’art est le meilleur étendard. Mais, si je me fie à la sonorité, « ectoplasme » est un mot que j’affectionne particulièrement.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’en ai pas, j’écris par pulsion. Il m’arrive même de me réveiller la nuit, à 4 heures du matin, ou d’arrêter de manger pour écrire. Il faut que j’aie cette inspiration et ce besoin pour produire ma littérature.

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Un peu de patience, je vais concrétiser les livres que j’aimerais écrire. Mais, pour donner une idée du genre que j’ai réellement hâte de publier, il s’agit d’un roman fantastique en 7 tomes.

  1. Stylo ou clavier ?

Je suis partisan du clavier ayant une calligraphie des plus hideuses. Je peine même parfois à me relire quand j’écris trop vite, c’est pour cela que je préfère la simplicité du clavier car il me permet d’écrire vite et bien.

  1. Le mot de la fin ?

Il faut croire en ses rêves car personne d’autre que nous-même n’est capable de le faire à notre place. Il faut se jeter dans les gouffres les plus profonds, voire les plus dangereux et s’acharner. Il faut les atteindre mais il faut aussi aider les autres à concrétiser les leurs. Quand on reçoit, on donne.