COVID-19 – Des solutions, pas de polémiques
« C’est pourquoi nous devons désormais considérer comme des biens vitaux les masques, les gants, les surblouses, les charlottes, les lunettes, bref, tout ce qu’on désigne sous le terme d’équipement de protection individuelle (EPI). Leur commerce doit être régulé. L’importation doit être interdite tant que le quota annuel de sortie du stock national n’est pas atteint. Ils doivent échapper au fonctionnement normal du marché. Le Code de la santé doit l’emporter sur le Code du commerce. »
Durant la crise du COVID-19, le flot continu des polémiques a suscité énormément d’idées fausses. En les dépassant, cet ouvrage fait émerger des solutions efficaces pour se protéger lors des crises à venir.
Cela commence par rétablir certaines vérités : ce n’était pas à l’État de fournir les masques aux soignants au début de l’épidémie. C’est parce qu’on avait laissé des centaines de millions de masques du stock national devenir progressivement inutilisables que la France en a manqué. Le Président de la République n’a pas caché la pénurie de masques, puisqu’il l’a publiquement reconnue dès avril 2020. Le ministre de la Santé n’a pas inventé l’inutilité des masques en population générale, car cela correspondait au consensus médical admis depuis des années. La campagne de vaccination n’a pas été le fiasco annoncé. L’Union européenne et l’industrie pharmaceutique ont été nos bienfaiteurs.
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