« Que l’on vive seul ou bien avec l’être aimé,
Peu importe, l’on est bien seul avec soi-même.
L’autre ne saura de nous que ce qu’on essaime
Au bon vouloir des mots et gestes bien formés. »
Pour son premier recueil de poèmes, l’auteur cristallise des préoccupations universelles : l’existence supposée d’un destin, les latitudes du sentiment amoureux, ou encore la précarité des souvenirs.
Avec, en toile de fond, l’angoisse reine, l’essence de l’homme : son évanescence.
« Ad vitam aeternam », c’est la catharsis par les mots, expulsés sur le papier moins pour dire notre peur de disparaître que pour réaffirmer notre engagement : extraire la miette d’infini de chaque instant.
Football et amour des mots. Maxime Bourg est autant fidèle supporter des Verts que lecteur assidu de Marcel Proust, Guy de Maupassant ou plus récemment Edouard Louis. Des passions qu’il cultive avec fierté et générosité.
Dans ce premier recueil de poèmes, l’auteur explore des thèmes universels tels que le destin, l’amour et la fragilité des souvenirs. Sur fond d’angoisse existentielle, il capture l’évanescence humaine avec une poésie à la fois intime et universelle.