« Ceci est une contribution à la théorie marxiste de controverse, d’abord utilisée pour expliquer les grandes constructions de terrassement préesclaves et préféodales en Chine, en Inde et dans les vallées fluviales de l’Euphrate et du Nil, et nommée sur cette base des preuves primaires provenant de ce que l’on appelle plus généralement « Asie ». »
Réflexion novatrice sur le concept du despotisme oriental à travers l’œuvre de l’historien K.A. Wittfogel, spécialiste de la Chine, cet essai déconstruit les paradigmes établis. En examinant les limites structurelles et théoriques de la pensée marxiste, Djamel Benkrid ouvre de nouveaux horizons dans les domaines anthropologique, politique et historique. Grâce à cette approche multidisciplinaire, ses travaux révèlent que le despotisme, qu’il soit oriental ou occidental, reste un élément omniprésent dans les doctrines politiques.
Djamel Benkrid est docteur en philosophie morale et politique ainsi qu'en anthropologie politique. Il est enseignant en économie théorique à Paris V et professeur de Management stratégique et de théorie monétaire à l'EIM-Paris.
Ses travaux, situés à la croisée des sciences sociales et humaines, explorent l'influence de celles-ci sur la théorie économique.
Dans cet essai novateur, Djamel Benkrid revisite le concept de despotisme oriental à la lumière des travaux de K.A. Wittfogel, éminent spécialiste de la Chine. Une réflexion profonde qui bouscule les idées reçues et enrichit le débat académique.