Alain Symphorien Ndzana Biloa est inspecteur principal des impôts et lauréat de l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM) de Yaoundé.

DE L'AUTEUR
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Rencontre avec... Alain Symphorien Ndzana Biloa

1 – Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

 En 2018, j’ai conclu mon second ouvrage « Sauvons l’impôt pour préserver l’Etat » en proposant la mise en place d’une fiscalité globale subsidiaire, adossée à une organisation intergouvernementale universelle chargée de la coopération internationale en matière de fiscalité. J’ai pensé qu’il était nécessaire de prolonger ma réflexion sur les deux piliers de ce qui, pour moi, sera le système fiscal international de troisième génération.

2 – Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

 J’ai souhaité donner aux lecteurs un cliché de la situation de l’impôt dans le monde, faire le point des négociations en cours au sein des instances internationales de concertation et/ou de coopération, et suggérer des pistes de solution pouvant assurer la réalisation des ODD.

 3 – Quelles sont vos sources d’inspiration ?

 Mes sources d’inspiration sont mon expérience et mon vécu comme inspecteur vérificateur, les conclusions de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement, le programme des ODD à l’horizon 2030, l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, les travaux de l’ICRICT et du Cadre inclusif de l’OCDE ainsi que les publications d’autres auteurs sur les défis de la fiscalité contemporaine.

4 – Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

 « Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera » d’Alain Peyrefitte.

5 – Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

 Conviction, courage, contribution.

6 – Quelle est votre citation favorite ?

« Il serait immoral et dangereux de laisser, sous l’effet d’un libéralisme sans frein, se creuser le fossé entre une partie du monde de plus en plus riche et des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants abandonnés à la misère et au désespoir ». Jacques CHIRAC, Palais de l’Elysée, le 11 mars 2007.

7 – Quel est votre rituel d’écriture ?

Je n’ai pas encore identifié de rituel d’écriture bien précis.

8 – Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je suis tenté d’écrire sur la captation d’une matière imposable en évaporation, notamment les paradigmes du prélèvement fiscal du XXIème siècle.

9 – Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

 J’ai été satisfait du travail d’accompagnement des Éditions du Panthéon dans le cadre de la publication de mon précédent ouvrage « Sauvons l’impôt pour préserver l’Etat ». C’est donc naturellement et sans hésitation que j’ai décidé de poursuivre l’aventure littéraire sous son label.

10 – Le mot de la fin ?

Je me suis donné le devoir d’apporter ma modeste contribution au débat sur la réforme de la fiscalité internationale qui secoue le monde. L’écriture me permet également de me cultiver, d’approfondir mes connaissances et de renforcer l’héritage que nous souhaitons léguer à la postérité.