Antoine Defives est journaliste, d’abord dans la presse écrite puis l’audiovisuel. Il est passionné de littérature fantastique et de fantasy.

DE L'AUTEUR
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Rencontre avec... Antoine Defives

1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

A l’origine, Main de Fer est un roman d’heroic fantasy pour les ados, écrit par un ado… même si finalement il s’adresse à n’importe quel public avide d’aventures. Il raconte l’histoire de Julius, un jeune garçon qui s’ennuie mortellement alors qu’il vient d’accomplir son rêve de devenir chevalier. Une certaine péripétie que je ne dévoilerai pas ici entraînera la perte de sa main droite avant qu’une mystérieuse relique s’empare de lui en se greffant à son poignet. A cause d’elle (ou grâce ?), le jeune homme devra parcourir un monde empli de dangers, récupérer des objets particuliers, surmonter des épreuves, rencontrer de nouveaux partenaires d’aventure et de nouvelles civilisations… et finalement vivre la vie qu’il a toujours rêvé de vivre.

2. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

« Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas », une citation de Lao-Tseu, par ailleurs annotée dans l’ouvrage avant la lecture.

3. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Pour écrire Main de Fer alors encore adolescent, je m’inspirais directement des livres que j’étais en train de lire à cette époque-là. Il s’agit principalement de littérature jeunesse : la saga Harry Potter bien-sûr, mais aussi des séries comme One Piece de Eiichirō Oda, Midnighters de Scott Westerfeld, le Seigneur des Anneaux de J.R.R Tolkien, ou Hunger Games de Suzanne Collins. Egalement, je me suis inspiré d’ouvrages classiques marquants comme les contes de Perrot, l’Odyssée d’Homère et bien-sûr la Peau de Chagrin de Balzac (qui a directement inspiré la Main de Fer). Les mythes et légendes de l’Egypte antique et du shintoïsme ont aussi été de grandes sources d’inspirations, tout comme les JRPG (ces jeux vidéo avec un scénario en béton et pour lesquels plusieurs centaines d’heures de jeu sont nécessaires pour venir à bout de l’histoire). Plus récemment, des lectures plus matures comme Lovecraft, Damasio, Orwell ou Poe m’ont bien aidé à retranscrire certaines ambiances et descriptions, notamment pendant la correction.

4. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Harry Potter, comme de nombreux jeunes nés dans les années 90.

5. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

C’est moi.

6. Quelle est votre citation favorite ?

« Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante », de George Orwell.

7. Quel est votre rituel d’écriture ?

Absolument aucun. Je ne me suis jamais dit que j’allais écrire ou que je devais le faire, j’ai toujours écrit seulement quand l’inspiration (et surtout l’envie) me poussait à le faire.

8. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Aucun. Main de Fer a été écrit il y a déjà plusieurs années, quand j’étais adolescent, et ne serait probablement jamais sorti en librairie s’il n’y avait pas eu le confinement. Je n’ai plus rien écrit depuis (en tout cas, pas qui vaille le coup de sortir de mon ordinateur et d’être partagé). Et puis… je n’ai plus le temps !

10. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

J’ai envoyé mon manuscrit à plusieurs maisons qui publient à la fois de la fantasy, de la science-fiction, du long format et de la littérature jeunesse. Après plusieurs retours favorables, j’ai choisi les éditions du Panthéon car la plupart des autres éditeurs désiraient que je scinde le roman en 2 ou 3 volumes pour « faire plus de ventes ». Or, je ne voulais pas dénaturer l’histoire originale de Main de Fer et proposer aux lecteurs une aventure complète de A à E.

11. Le mot de la fin ?

Merci !