Jean-Joël Lemarchand a passé sa prime jeunesse à Granville, dans la Manche. Il a enseigné la philosophie puis, passionné par la chose politique, il a exercé une longue carrière d’élu en région parisienne. Épris des mots, de leurs sons, de leurs sens, il a toujours écrit : billets d’humeur dans la presse, chroniques pour la radio et de nombreuses pages au fil de son inspiration.
Il est l’auteur de « Poussières » (tomes I et II), « Le roman rouge » (tomes I et II), « Mots rebelles, vies nouvelles », « Morceaux de chairs », « La valse des fragments » et « États des lieux », parus aux Éditions du Panthéon.

DE L'AUTEUR
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Rencontre avec... Jean-Joël Lemarchand

Écrivez-nous 2, 3 lignes biographiques.

 Je suis né en Alsace, par temps de tempête et de haute marée ; je ne me suis pas noyé au pays des quetsches. J’ai passé ma vie à écrire.

 Si vous étiez un livre, vous seriez :

« La mare au diable »

 Si vous étiez une citation :

« Aboli bibelot d’inanité sonore » (Mallarmé)

Si vous étiez un marque-page :

Un fil d’argent

Si vous étiez un discours :

« Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes et si elle est autorisée par la loi naturelle » (Rousseau)

 Si vous étiez une collection :

De timbres et de rien du tout

Si vous étiez un papier :

De verre, mat et brillant

Si vous étiez une bibliothèque :

Babel de tous les livres du monde

Si vous étiez une recette :

Farcir la dinde aux marrons et aux champignons, déglacer la volaille, la cuire à feu doux en cocotte durant 4 heures, l’arroser toutes les heures, servir chaud.

Si vous étiez un titre de livre : « Splendeurs et misères des courtisanes » (Balzac)