« Dans un temps révolu, c’était la maison de mes ancêtres, quatre générations.
À son origine, c’était une imposante bâtisse isolée, on la croyait indestructible. La mer était loin, bordée d’un sable fin qu’elle n’oserait jamais faire disparaître ; on le croyait naïvement… Le soleil couchant était à contempler à chaque tombée du jour, à l’heure de l’apéro… »
Dans une maison ancienne, peu à peu dévastée par l’océan trop proche, Alix, Emma, César, Gabin, Vicky et les autres se croisent et discutent à perte de vue.
Le bruit du ressac donne le tempo de leurs conversations. Il est aussi l’écho lancinant du fracas du monde, déchiré par les guerres, la haine et la dévastation de la nature.
Nut Monegal allie la bienveillance et une lucidité douloureuse dans ses écrits. Poète, dramaturge, comédienne, elle dit dans cette nouvelle œuvre dramatique la puissance de l’entraide et de la tolérance.
Nut Monegal allie la bienveillance et une lucidité douloureuse dans ses écrits. Poète, dramaturge, comédienne, elle dit dans cette nouvelle œuvre dramatique la puissance de l’entraide et de la tolérance.
Nut Monegal plante dans cette pièce de théâtre un décor envoûtant, où les personnages conversent, et refont tour à tour le monde. Se dessine en filigrane un appel à l'humanité et à la compréhension de l'autre.