« Que demain soit meilleur qu’aujourd’hui
Que sur son nouveau chemin on se lie avec le bonheur
Que la nouvelle destination soit une prairie sans peur
Que nous soyons baptisés par une belle fine pluie »
Ce recueil de poèmes forme une ode à l’amour sous toutes ses formes. Tout en délicatesse et lyrisme, cet ouvrage nous rappelle qu’il y a en toute chose une dualité : la joie et la tristesse, les rires et les pleurs, le bien et le mal.
Juriste, Daniel Éro termine un doctorat de droit international. Homme de conviction, il est également investi dans l’humanitaire.
La poésie de Daniel Éro célèbre l'amour et véhicule un message simple : ce sentiment triomphe de tout. Si réconfortant !
Félicitations à l’auteur pour cette belle oeuvre ! Notre monde a tant besoin d’amour et d’amour vrai.
Nous rendrons notre existence meilleure et notre monde par conséquent, avec de l’amour vrai et sincère. Merci 🙏
Une bonne inspiration. Nous avons besoin de manifester l’amour dans nos actes chaque jour. Nous pouvons encore trouver l’amour perdu au près des personnes que la vie met sur notre chemin.
C’est tellement vrai et c’est le sens de ce recueil. Un amour perdu ne doit pas rimer avec la fin de la vie. Il y’a tant d’amours à donner et à recevoir dans ce monde qu’il faut garder nos cœurs ouverts et sincères. Merci
C’est simplement fantastique !
Felicitations pour travail abattu et que recueil de poèmes inspire les nouvelles générations
Venant d’un grand professionnel, je suis tout ému et je me sens investi de la mission de faire prospérer la chaîne d’amour . Merci
Belle œuvre, ce monde manque cruellement d’amour. Bon vent à l’auteur.
L’amour est au centre de tout, il est patient et avec amour tout possible. Merci
Au début, je ne savais pas comment appréhender ton poème dédié à Maman Nadège. C’est tellement fort et personnel que je ne me suis pas donné le droit d’en apprécier toute la profondeur. Puis au bout de quelques pages, j’ai été happé dans ton intimité, tu m’as enveloppé dans une étole soyeuse et douloureuse à la fois. Comme le tissu de la vie.
Alors j’ai repris ma lecture de « souvenir d’un adieu douloureux » et j’ai continué jusque « Raccourci de la pierre lancée ». Plongé, immergé, parfois noyé dans des larmes, j’ai repris mon souffle à « la belle trame d’Arnaud », à l’hommage au pompier sans papier et à l’hymne au colibri. J’ai eu l’impression de changer de monde et là, j’ai arrêté ma lecture et vraiment repris mon souffle.
Jusque-là, wahouuu ! Quelle charge émotionnelle ! Et quelle décharge j’ai dû faire pour pouvoir continuer. Je me suis dit : » S’il continue comme ça, il va ma faire exploser le cœur, Daniel !!! ».
Une fois mon esprit plus détendu, j’ai poursuivi, puis j’ai refait une 2ème lecture complète. C’est alors que j’ai compris encore plus profondément pourquoi j’étais emballé de tout te lire, de te lire toi tout entier.
Je n’ai pas la prétention de faire une appréciation de tes poèmes, mais je me pose des questions que je voudrais partager avec toi :
Pourquoi présentons-nous aux élèves de tous âges, des vieux classiques hors d’âge, sans mettre en parallèle une œuvre et un style comme le tien ? C’est ce que m’a fait penser « la fidélité du savoir ».
« La victoire de la solidarité » est un bel hommage au courage des sinistrés de Beyrouth ou du Sud de la France. Comment pourrait-on leur envoyer ce poème de réconfort ?
Pourquoi des talentueux de la vie, comme toi, ne sont pas sollicités pour offrir leurs œuvres à nos enfants, pour les aider au présent à imaginer leur avenir ?
Et plus personnellement, comment, toi, tu sais renvoyer la chaleur et le bonheur !!! C’est ta force de poète qui fait exploser les murs de la résignation pour apprécier l’horizon sans borne de l’espoir.
Le bonheur, ce n’est pas une face visible de notre monde, c’est bien ce qui attise le feu intérieur de chacun, c’est la reconnaissance de l’amour qu’on porte en soi, et comme tu le dis si bien : « l’amour vrai qui subit, subira, mais vaincra tout têtu. »
Et puis j’ai partagé très fort avec toi l’ode à ta Rose.
Je te souhaite de pouvoir le dire, le redire, le ré-écrire chaque fois que ta Rose aura un an de plus, un jour de plus, chaque fois que tu la regarderas, en regrettant que chaque clignement de tes yeux ne te prive, pendant 1/10ème de seconde, de la regarder.
Je te le souhaite, parce que tu as su mettre en mots ce que je vis moi aussi. Cela fait 43 ans 5 mois et 7 jours que j’évite de cligner des yeux et que je pose le même cœur sur ma Rose à moi.
Merci, Daniel, d’avoir su, d’avoir pu me faire « passer de l’ombre à la lumière », pour m’aider à « jouer dans la symphonie du bonheur ».
Merci.
JP.
Merci JP d’avoir pris le temps de lire mon œuvre et surtout de partager avec tout le monde ton ressenti dans une franchise qui me remplit d’émotions. Merci
[…] D’un amour à un autre amour […]