« Je ne regrette pas la vie que j’ai vécue, seulement peut-être toutes celles que je n’ai pas vécues. »
Paralysé à seulement quelques mois suite au vaccin de la variole, c’est à la force de sa volonté et avec l’aide inconditionnelle de sa mère que l’auteur va surmonter son handicap et prendre pleinement possession de sa vie, ou plutôt de ses multiples existences.
Tour à tour journaliste, photographe ou encore syndicaliste, François Zeugin s’intéresse également à la littérature et à la musique.
Un ouvrage bouleversant et plein d'espoir dans lequel François Zeugin nous raconte son combat face au handicap et les ressorts de sa résilience.
On t’avait beaucoup apprécié dans bien des situations .Quelle agréable surprise pour nous que ce message.Nous ne manquerons pas de te lire.
Amitiés Jean e Gaby
Un livre passionnant qui se lit d’une traite,
vous donne la pêche et vous rend plus fort.
Les 110 vies de François Zeugin valent le détour.
Plein de thèmes abordés avec humour et humilité qui vous font savourer cette autobiographie,
A lire de toute urgence
Daniel, le 18 décembre 2018
J’ai lu un hymne à la vie d’autant plus émouvant qu’il célèbre la victoire remportée sur soi-même -la plus précieuse-,
par l’effort de volonté et une perception positive des êtres et du destin. Un pacte scellé avec l’espérance inspire et nourrit le livre de François Zeugin, et c’est un plaisir que de suivre le chemin de la guérison et de l’autonomie, le sien, mais aussi celui qu’il a su tracer pour ses lecteurs.
le peu que j ‘en ai lu donne envie de le lire en entier très touchant et fort bravo!
François,
Tu es l’exemple même de quelqu’un qui à force de courage et de persévérance a fait de sa vie quelque chose de merveilleux.
Malgré un départ qui te vouait à une vie végétative, ton handicap grâce à ta ténacité se transforme en surpassement.
Je te dédie ce poème de Lewis Carroll que j’aime beaucoup.
Un bateau, sous un ciel d’été
Sur l’eau calme s’est attardé,
Par un après-midi doré…
Trois enfants, près de moi blottis,
Les yeux brillants, le cœur ravi,
Écoutent un simple récit…
Ce jour a fui depuis longtemps.
Morts sont les souvenirs d’antan.
Dispersés au souffle du vent,
Sauf le fantôme radieux
D’Alice, qui va sous les cieux
Que le rêve ouvrit à ses yeux.
Je vois d’autres enfants blottis,
Les yeux brillants, le cœur ravi,
Prêter l’oreille à ce récit.
Ils sont au Pays Enchanté,
De rêves leurs jours sont peuplés,
Tandis que meurent les étés.
Sur l’eau calme voguant sans trêve…
Dans l’éclat du jour qui s’achève…
Qu’est notre vie, sinon un rêve ?
[…] François Zeugin ne fait pas les choses à moitié. Se voyant refuser une promotion, il s’est naturellement […]