« Marche de bout à autre happée par imprécision,
fugitive écriture avance par force. »
En épîtres comme abrasées, expurgées de la plupart des articles possessifs et démonstratifs, se murmure que la poésie est là, vibrante. Elle respire en nous et hors de nous, où que se portent nos regards. Elle peut paraître si petite face à la violence du monde, elle est cependant essentielle, comme le battement originel du cœur.
Jean-François Calvat enchâsse chaque mot avec la minutie de l’orfèvre. Rythme, précision, mélodie, ses poèmes nous convoquent à une symphonie des sens.
Ce recueil est une expérience sensorielle et révèle la puissance de la poésie.