Thème : Essais littéraires

Le sang de la gloire

« Ce petit pays est différent, spécial, envoûtant. Je tenais à le dire lorsque j’ai décidé d’écrire ces quelques pages de vérité pour contrer ceux, ô combien nombreux, qui le dénigrent par leurs mensonges invraisemblables motivés par l’antisémitisme et la jalousie… »

Jean-Pierre Lévy raconte Israël, ce pays qu’il a rencontré en 1962 et avec lequel il entretient des liens profonds. Son ouvrage s’adresse en particulier aux plus jeunes, eux qui ignorent quelquefois ce que fut la Shoah et connaissent peu, ou mal, l’État hébreu. Dans une relation tout à la fois historique et pédagogique, l’auteur leur présente les grandes réalisations israéliennes. Homme de dialogue, il propose également de tendre ce livre, tel un message de paix, aux négationnistes et antisionistes.

L’évolution des droits des femmes et leur engagement vers une égalité réelle : le cas du Gabon

Parler de l’évolution des droits, particulièrement de ceux des femmes, c’est parler de l’émancipation de celles-ci. Jadis, elles ont revendiqué et aujourd’hui, elles continuent de réclamer leurs droits, qui doivent être les mêmes que ceux des hommes dans tous les domaines. Cette revendication s’est évidemment faite au fil du temps dans l’histoire et continue de nos jours, l’action se poursuivant dans le temps.

Malgré une prise de conscience toujours plus importante, les discriminations et violences subies par les femmes s’illustrent encore trop souvent au quotidien. Fondatrice du Groupe International GOBONI pour la Connaissance des Droits Humains, le Docteur Assenguet Yogoulou Joly établit dans cet essai un état des lieux de la situation de l’égalité homme-femme aujourd’hui. À travers l’exemple du Gabon, elle met également en lumière l’évolution de l’objectif 5, promouvant l’égalité des sexes, énoncé au Sommet sur le Développement Durable de l’ONU en septembre 2015. Par ce biais, elle cherche à démontrer le caractère fondamental de cette question, dans une démarche de justice, d’équité et d’harmonie.

La fabuleuse histoire des transports parisiens

« Que de péripéties, de projets et idées avortées avant d’en arriver à ce que nous connaissons aujourd’hui !
Les transports ont permis la croissance des villes, désormais rapidement accessibles à tous leurs habitants.
Aujourd’hui encore, la ville garde l’empreinte de ces premières lignes d’omnibus ou de tramways le long desquelles s’étiraient de longs faubourgs qui devaient plus tard faire partie intégrante de la cité. »

Nous les détestons quand ils sont en grève, aimons nous en plaindre, certains d’entre nous craignent même de les emprunter. Les transports publics parisiens sont pourtant indispensables à la vie francilienne. Ils ont tant à raconter, eux qui représentent une formidable révolution dans nos déplacements.
Olivier Bernard a plongé dans les archives, en particulier celles de La maison de la RATP, les plans et les comptes rendus pour extraire de cette manne une aventure humaine et sociale finalement peu connue.
Après « Les lueurs célestes » (Éditions du Panthéon, 2021) qui bousculait les préjugés sur les phénomènes inexpliqués, Olivier Bernard invite ses lecteurs à découvrir les coulisses et l’histoire des transports parisiens.

Guide et orientation de la conscience

« C’est la loi de cause à effet : ce qu’on croit, ce qu’on pense, ce qu’on dit, ce qu’on fait nous revient avec amplitude tôt ou tard, principalement dans cette vie ou la suivante. »

Ayant appris des plus grands motivateurs contemporains (Tony Robbins, Deepak Chopra, Wayne Dyer…), Jean Mathieu cherche dans cet ouvrage à guider le lecteur vers une nouvelle civilisation aujourd’hui en pleine mutation. Le bonheur est à portée de main : il est nécessaire, pour le toucher du doigt, d’ouvrir son cœur, à soi-même et aux autres et de trouver une harmonie entre son corps, son mental et ses émotions. Avec l’aide de ce livre, nous pouvons faire les premiers pas vers la félicité et devenir plus conscient du divin qui nous habite en permanence.

Briser les chaînes de l’ignorance

« La rédaction de ce volume répond à un actuel et pressant besoin de notre époque. Son dessein consiste à aider les humains aux prises avec des difficultés existentielles ou en quête de perfectionnement et d’évolution spirituelle à comprendre et à saisir le sens de l’existence afin de mieux s’outiller pour y faire face.»

Dans cet ouvrage sincère, NDiaga Ba décrit sans fards son combat contre l’adversité tout au long de sa vie. Son objectif : lever le voile d’obscurité sur les yeux du monde. Dissiper l’ignorance de soi et des autres qui mène à tant de violences aveugles. Comment se comporter face à la haine ? Comment trouver le bonheur sur un chemin semé d’embûches ? L’auteur aime à croire que ce livre puisse être un guide vers ce bonheur, ainsi qu’un ami pour ceux et celles qui en ont besoin.

Les révolutions et les mobiles – Le manège français

« Or, au cours de leurs présents successifs et historiques, ce sont les mêmes impulsions qui ont été resservies ou ressassées en boucle. Comme si chaque révolution complète pendant laquelle un « changement » était annoncé avait ramené le futur nouveau au point de départ. Le futur n’était à nouveau, pour les révolutions suivantes, qu’une « amélioration » du présent qui venait de s’écouler. »

L’auteur démontre avec verve que, sauf révolution à venir, les changements que nous annoncent diverses Cassandre, ne sont que de reprises de concepts devenus obsolètes.
Dans un monde en profonde mutation, notre civilisation, telle un mobile, est arrivée au terme de sa révolution, astronomiquement parlant. Paul Arbaud propose d’ouvrir l’orbite de ce mobile afin qu’il puisse échapper aux concepts mortifères qui en altèrent le cycle.
Dans tous ses ouvrages, l’auteur utilise des exemples idéalement adéquats et d’une vérité frappante. Ces exemples lumineux renforcent l’intérêt de la lecture argumentaire. L’auteur les tire des sciences naturelles, expérimentales, physiques, mathématiques, sociales, etc. ou de la culture littéraire et poétique.
Ici, il établit un parallèle saisissant entre le mouvement des planètes et la vie de nos sociétés, et y observe une leçon fort utile pour qui veut voir plus loin.

L’Homosexualité dans tous ses États

« L’amour entre hommes est une pratique aussi ancienne que le genre humain. C’est une activité qui a toujours existé. C’est un phénomène constant et universel. »

Tant de bêtises ont été dites sur l’homosexualité, y compris de la part de médecins et de psychologues…
Soucieux d’éclairer le lecteur, Marcel Comtesse répond à un certain nombre de questions afin de rétablir quelques vérités. Qui sont-ils, ces homosexuels ? Quels métiers exercent-ils ? Comment votent-ils ? Où se rencontrent-ils ? Autant d’interrogations, et bien d’autres encore, que l’auteur aborde avec simplicité, avec le souhait de démonter un à un les préjugés.

De La Diplomatie Féministe Pour Promouvoir L’EFH !

« Parler de l’évolution des Droits, particulièrement de ceux des femmes, c’est parler de l’émancipation de celles-ci. Jadis, elles ont réclamé et, aujourd’hui, elles continuent de réclamer leurs droits qui doivent être les mêmes que ceux des hommes dans tous les domaines. Cette revendication s’est évidemment faite au fil du temps dans l’histoire, et continue de nos jours, l’action se poursuivant dans le temps. »

La question de l’égalité femmes-hommes, même si elle est réglée dans certains textes, demeure une préoccupation pour le progrès de toute société. L’apport des relations internationales a le plus souvent mené à la réflexion, voire entraîné des modifications essentielles, dans les manières d’aborder le sujet sur le plan national. Faire de l’Égalité Femmes Hommes (EFH) une réalité reste le fil rouge de ce quatrième volet de l’étude entreprise par le Dr Annie Flore Assenguet Yogoulou Joly, concernant l’évolution des droits des femmes. L’autrice expose les évolutions possibles qui permettront à leur voix de se faire entendre en matière de diplomatie ainsi que les mesures à prendre pour concrétiser cette égalité.
Ministre Plénipotentiaire, Chevalier de l’Ordre de l’Étoile Équatoriale, Médaillée de Bronze de la Reconnaissance G., Annie Flore Assenguet Yogoulou Joly est Experte Francophone de l’EFH, détentrice d’un Ph.D en Relations Internationales Européennes et Diplomatie. Humaniste engagée pour la promotion des droits des femmes et des filles, elle est Présidente Fondatrice de l’ONG Groupe International GOBONI pour la Connaissance des Droits Humains (www.groupegoboni.org). Chercheuse, elle collabore à de nombreux organismes et centres d’études.

Les lueurs célestes

« L’homme face à ce qu’il ne comprend pas, ne s’explique pas, se réfugie le plus souvent dans la religion qui apparaît alors comme un outil essentiel lui permettant de gagner de l’indépendance et du réconfort. En cas d’évènement malheureux ou impromptu, il désigne ainsi une fatalité sur laquelle il n’a aucune influence.
Mais l’être humain a besoin non seulement d’une approche poétique qu’on peut trouver à travers la religion et la spiritualité, mais aussi d’une approche rationnelle issue de la science. »

Depuis toujours, l’Homme observe des choses étranges dans le ciel. Les personnes qui se passionnent pour ce sujet sont souvent qualifiées de marginales…
Mais après tout, ne sont-ce pas des croyances à respecter au même titre que les religions ? Comment affirmer que l’on connaît la vérité au sujet des mystères des cieux ?
Olivier Bernard en a fait l’étude et nous propose, dans cet ouvrage, des pistes de réflexion pour changer la vision populaire du « phénomène OVNI ».

La voie de l’incarnation divinisée

« L’inspir et l’expir sont ce double positionnement conceptuel de l’incarnation qui spécifie la verticalité intimement liée à l’existence humaine, dans le mouvement de l’humanisation et de la divinisation.
Dans ce mouvement descendant/ascendant de l’incarnation dans la verticalité, les signes visibles de la beauté de la nature correspondent à l’immensité de l’Invisible, la voix et le Souffle Divin restant les noyaux fondamentaux de l’incarnation de l’homme vers la terre puis vers le ciel. »

Après « La voie transcendantale de la voix de l’Ange », où elle décrivait la portée divine de la voix, Véronique Klesse s’intéresse aujourd’hui à l’incarnation du divin par l’être humain. Exposant les énergies spirituelles favorables à l’élévation de l’âme et de l’esprit, l’autrice fait le parallèle entre l’homme ancien, enfermé dans une boucle formée par l’ego et l’Homme nouveau, qui transcende les énergies créatrices afin de s’ouvrir à lui, aux autres et enfin, au divin.

Pour une parenté responsable et porteuse d’égalité 

« Il faut pouvoir croire en l’égalité  ; promouvoir l’égalité des sexes, qui reste une preuve de justice. Il faut pouvoir comprendre et réguler le patriarcat, tout en maintenant cette quête vitale vers l’émancipation et le respect des droits des femmes. »

Respecter son prochain, respecter les droits et la dignité des autres, promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes… Le docteur Assenguet Yogoulou Joly aspire, comme beaucoup, à concrétiser réellement le principe d’égalité. Pour ce faire, elle propose à travers cet essai (qui est l’Acte III de l’Évolution des Droits des Femmes et des Filles) de nous montrer la voie en éduquant et sensibilisant dès leur plus jeune âge nos enfants à comprendre ce précepte et ses conséquences sur les relations humaines et sur l’évolution des droits des femmes contemporaines.

Encore un jet !

« Petit courrier de bienséance :
à tous ces gens suffisants :
nous sommes sur la même planète, de chair et d’os. »

Dans ce nouvel opus, Laurent Golliot nous enlève dans une danse tantôt langoureuse, tantôt endiablée avec les mots. Toujours il observe alentour comme à l’intérieur de l’existence, à la fois fou de mystères, de simplicité et de curiosités, et encore il évoque avec ardeur et tendresse la vie en grand, en petit, en long, en large et surtout en travers, comme on la connaît tous, mais pas avec ces yeux-là.
Laurent Golliot nous convie à cette marelle de la vie, à cloche-pied, et avec toute la singularité de sa prose. Après « Enfer… derrière ! », « Le rebond » et « Goutte à goutte… bye !  », parus aux Éditions du Panthéon, retrouvons la musique tendrement entêtante de ses maximes.

Lumières d’escale

« Trop souvent, aussi, le voyage a tendance à transcender des banalités ou des différences, au motif que celles-ci sont situées à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Nous réduisons trop aisément notre approche du déplacement au dépaysement touristique. Le voyage a pourtant d’autres vertus, d’apprentissage et de perfectionnement professionnel. »

L’homme voyage, depuis aussi longtemps qu’il est homme. Point par pure curiosité mais par nécessité vitale en premier lieu, par avidité ensuite. Rareté des ressources et esprit de découverte fusionnent en cette même aspiration à l’ailleurs.
Les temps modernes n’échappent pas à la règle et voient les dramatiques exodes de population en même temps que le tourisme dit de masse, tiraillé entre le confort de la classe affaires et les aigreurs du low cost.
Sous différents angles d’analyse, littéraire, sociologique, historique, Christophe Agogué se livre à cette réflexion douce-amère sur le voyage. S’il évoque la fraternité humaine que la rencontre de l’autre nourrit, il témoigne également de la difficulté à dépasser le stéréotype pour toucher le cœur de cette expérience privilégiée. À l’heure où les voyageurs sont contraints à l’immobilité pandémique, Christophe Agogué nous offre un délectable billet de sortie.
Christophe Agogué vit à Paris et travaille dans une entreprise énergétique. Il est l’auteur de plusieurs essais et romans ainsi que de nouvelles théâtrales et de musées imaginaires.

La bifurcation systémique

« Il s’agit de renouer avec les grands débats entre philosophes, économistes, sociologues… comme au XVIIIe siècle lorsqu’il avait fallu poser les bases de la dynamique du capitalisme, pour redéfinir d’abord la Valeur puis les principes de la répartition, comme préalable à la production, sur la base de la définition des besoins et du temps. »

Depuis la fin du XXe siècle coïncident des mutations technologiques, scientifiques, démographiques, pendant que le monde évolue politiquement, culturellement, que les regards se tournent vers l’environnement. Parmi tous ces changements, la révolution numérique a fait basculer le monde dans une nouvelle logique centrée non plus autour de la production mais de la communication. Comment définir les priorités et les besoins à partir de là ? Jean-François Stevens, professeur et économiste, propose des pistes de réflexions.

Pantomérie ou de l’Idée de l’Univers

« La fausseté se trouve partout et il ne faut surtout pas se laisser berner par des pseudo-mathématiciens qui ne comprennent absolument rien à l’essentiel du processus cognitif mathématique. J’ai d’ailleurs passé toute ma vie à essayer de dégager l’Universalité à partir du particulier par la recherche de la définition universelle :
« Qu’est-ce que c’est ? »
Puis, Platon rajouta l’importance de la raison, du logoç :
« Pourquoi est-ce ainsi ? »
En effet, toute connaissance doit être justifiée. »

Dans ce dialogue de haute volée, Socrate et Aristote retrouvent un philosophe contemporain, Jonas, pour tenter de découvrir, ensemble, la Vérité, justifiée par des preuves mathématiques. L’objectif de ce livre est avant tout de livrer un message d’Unité, de Paix et de Respect, accessible à tous et mettant en valeur la relation de complémentarité et d’opposition qui concilie tout. Dans sa quête d’Universalité, Jonas est particulièrement attentif à la Beauté et à l’idée du Souverain Bien. Il apporte au lecteur curieux des réponses originales et inédites à des questionnements fondamentaux tels que « qu’est-ce que « être » ? » ou « qu’est-ce qui est éternel ? ».

Les enseignements positifs de la pandémie du coronavirus

« Certes, cette pandémie a fauché des centaines de milliers de vies humaines ; certes, elle a occasionné des drames professionnels et familiaux incommensurables ; certes, elle a ruiné les économies de plusieurs pays… et j’en passe  ! Mais on est encore là, en vie, et il nous appartient de tirer des leçons nécessaires pour notre avenir et notre survie sur cette planète. »

Psychologue clinicien déjà auteur de deux ouvrages sur le bonheur, Mourad Touak se pose aujourd’hui la question de ce que nous a appris la pandémie du coronavirus : quel chemin doit-on prendre maintenant ? Comment surmonter les difficultés ou les traumatismes engendrés par cette période dévastatrice, tant socialement qu’économiquement ? Comment retrouver espoir en un avenir dont nous ne voyons pas encore les couleurs ? Ce livre nous propose des solutions, et tout commence en nous.

François Mitterrand – L’attentat de l’Observatoire vu de l’intérieur

« Vous êtes ancien garde des Sceaux, vous êtes avocat, vous êtes parlementaire et vous n’avertissez ni le bâtonnier, ni le garde des Sceaux, ni le président de cette assemblée, vous n’avertissez personne. »

La vie politique française des années cinquante, foisonnante, est mise en lumière dans cet ouvrage qui dévoile un aspect particulier de l’affaire de l’attentat de l’Observatoire : la demande de levée de l’immunité parlementaire de François Mitterrand. L’auteur, à l’aide de documents inédits, donne au lecteur un accès direct à des débats passionnés.

Faire la ville ? Quelle Ville ?

« Les difficultés que nous rencontrons à parler de nos territoires sont le symptôme d’un décalage croissant entre l’organisation de l’action publique et la vie de nos concitoyens. Ce hiatus doit nous inciter à nous interroger sur l’organisation de l’action publique. »

Comment parler de la ville ? Il y a en effet plusieurs manières de l’aborder, que ce soit de façon géographique, historique, économique ou tout simplement sociale. La transcription de ce séminaire fait dans les instituts d’urbanisme et les écoles d’architecture ne s’adresse pas seulement au monde universitaire. Abordable, ce texte intéressera tous ceux pour qui l’humain doit être au cœur du projet urbain.

In cauda venenum

« Respect à vous Mesdames, Messieurs, enseignantes et enseignants, et tant que j’y suis j’associerais volontiers dans cet hommage les éducateurs, animateurs socio-culturels, aides familiales, nounous de tout poil, complément et prolongement des parents quand vous ne les remplacez pas, engagés dans la prise en charge de ces gamins qui sans vous tous ne recevraient leur éducation que de la rue. »

Après cinquante ans de travail social, salarié puis bénévole, Jean-François Costa a désiré partager les secrets de ce microcosme qui l’a toujours porté. Avec autant d’humour que de tendresse, tour à tour amusé et coléreux, il nous emmène à sa suite dans les coulisses de ce domaine en nous en montrant à la fois les gloires et les travers, dans son œil aujourd’hui plus détaché.
Abécédaire décalé, « In cauda venenum » est un révélateur certes facétieux mais profondément juste de notre société. Quelquefois le miroir dévoile les fêlures…
Jean-François Costa est l’auteur de « Vous m’en direz tant », « Vous en reprendrez bien une becquée », « Quatre saisons pour un printemps » et « Sous le chêne de Véléda », parus aux Éditions du Panthéon.

Il était une fois le coronavirus

« Cette chronique est pour moi un travail de mémoire. J’écris pour m’incliner devant les victimes. Qu’elles ne soient pas oubliées comme l’ombre devant l’obscurité de la nuit. Vous qui aurez survécu à cette épreuve, n’oubliez pas la belle leçon qu’elle vous aura enseignée : l’humanité que nous avons en partage est une et indivisible. »

Dans cette chronique, l’auteur opère un travail de mémoire. À la fois hommage à toutes les victimes du virus et apologie de la beauté de l’humanité, « Il était une fois le coronavirus » nous met face à la fragilité de notre existence et à l’urgence d’en profiter, et d’en profiter ensemble, unis contre l’adversité. De réinventer l’Histoire en étant de meilleures personnes, des personnes éveillées… après cette épreuve.