Thème : Essais littéraires

La création du langage par le dialogue bihémisphérique

Nos deux hémisphères cérébraux sont différents mais pas indépendants. Ils ont leur propre façon de voir le monde, chacune complémentaire de l’autre, et échangent leurs impressions. L’hémisphère gauche s’intéresse au passé et à ce qui est matériel et individuel ; il analyse. L’hémisphère droit est tourné vers le futur, le vivant, les relations sociales ; il synthétise. Il construit le monde par en haut, le veut spirituel et imprégné de sacré.

Dans cet essai, Denys Lépinard expose une théorie totalement originale et alternative du darwinisme. Il démontre comment le langage est apparu par le dialogue de nos deux hémisphères cérébraux, et qu’en retour ce langage l’a stimulé pour le progrès de l’humanité.

Pragmatique et documenté, son ouvrage s’appuie sur de nombreuses notions scientifiques et psychologiques essentielles. De l’interactivité des deux hémisphères, au dialogue bi-hémisphérique, en passant par la révolution cognitive, il rappelle les particularités des cerveaux gauche et droit dans leur ensemble. Et si ce changement de point de vue semble si étonnant, c’est que son impact est majeur.

Ainsi Denys Lépinard partage ses connaissances dans l’idée de nous interpeller sur l’évolution. «La création du langage par le dialogue bi-hémisphérique» est son premier essai, paru aux Éditions du Panthéon.

Une si belle illusion

« Cet ouvrage est né d’une réflexion conduite au fil des ans, nourrie de nombreuses lectures et, surtout, d’une pratique concrète des relations internationales au cours de séjours ou de missions dans une centaine de pays, durant un demi-siècle. »

La Charte de San Francisco est anachronique. Le droit international public, legs de l’histoire européenne, reste pertinent dans l’ensemble. En revanche, les institutions intergouvernementales exigent une renégociation globale. L’Occident ayant perdu sa centralité, la composition du Conseil de sécurité et le rôle de l’Assemblée générale des Nations Unies ne correspondent pas à l’état du monde. Devenue assistance, la coopération économique empêche les nations récipiendaires d’assumer leur destin. La justice internationale est encore fortement marquée par la règle de la souveraineté exclusive. La force supplante souvent le droit.

Le processus de mondialisation a introduit de nouveaux paradigmes dans les relations internationales. Les piliers du système demeurent certes les Etats. La nature de leurs trois composantes : une autorité souveraine, sur une population homogène, dans des frontières contrôlées, a beaucoup évolué. Les pouvoirs régaliens traditionnels ont perdu de leur monopole. La crise du multilatéralisme est souvent évoquée, mais aucune solution un peu exhaustive n’a vraiment été esquissée. L’auteur tente de le faire, en des termes courants, aisément accessibles.

Ulysse, son identité à travers les femmes

« Ulysse se réalise par les femmes et pour les femmes dans sa légende du voyageur. Hélène, Pénélope, Nausicaa, Calypso, Circé forment son identité. Dans chaque île, il sort de la mer nu et les déesses s’occupent de lui. Avec chacune, il change, adopte une nouvelle attitude, se refait. Son désir est porté vers Ithaque et Pénélope. Le désir d’Ithaque n’est que l’alibi, c’est le voyage qui donne du sens à son existence. Cela se révèle avec le temps. »

Les voyages d’Ulysse relatent une quête épique, mais aussi un périple initiatique et identitaire. Son regard sur le monde et sur les autres s’affûte grâce à Circé, Calypso, Nausicaa, les sirènes et prend conscience du néant et de la mort… Et au bout du chemin, une autre femme personnifie son but ultime, sa finalité et le foyer de sa sagesse : Pénélope, qui l’attend à Ithaque.

L’analyse d’Efi Papavassilopoulou est ici absolue : Ulysse a su construire son caractère et sa condition d’homme grâce au concours des femmes dont il croise le chemin tout au long de son voyage, et de son existence. L’auteur nous propose dans cet essai de découvrir les détails de ce parcours savamment guidé par celles qu’en d’autres temps l’on nommait le « sexe faible ».

Islam, Occident et médias

« Face à la prolifération des obscurantismes répandus au nom de la religion, tous, musulmans, chrétiens et juifs, doivent dresser un front commun pour contrecarrer le fanatisme, la haine et le repli sur soi sous toutes les formes… Ceux qui incitent au meurtre et à l’agression, qui excommunient indûment les gens et qui font du Coran et de la sunna une lecture conforme à leurs intérêts, ne font que colporter le mensonge au nom de Dieu et du Prophète… c’est cela la vraie mécréance… »
SM le Roi Mohamed VI

À l’heure où l’Islam est sans cesse présenté comme un berceau de violence et de terreur, comme un instigateur de haine et de refus de l’Autre, Abdellah Boussouf invite à un autre regard sur sa religion. Après un premier essai fondamental mettant en lumière toute la spiritualité et la morale de l’Islam, il pose aujourd’hui son analyse et ses réflexions sur le climat actuel.

De l’Occident à l’Orient, de l’Église à l’Islam, du pluralisme culturel à l’islamophobie, ce second ouvrage décrypte la fabrique de l’opinion publique et plus que tout, celle de la peur…

Sartre vivant

« Jean-Paul Sartre est un homme du XXe siècle. Il y a vécu pleinement, de 1905 à 1980, et peut être considéré comme l’une des consciences majeures de son temps. S’il est permis de dresser des palmarès arbitraires tournant autour de l’aura et de la suprématie intellectuelle, disons sans trop nous tromper qu’il succède à Henri Bergson et à André Gide et qu’il sera le prédécesseur de Gilles Deleuze et de Michel Foucault. Cela pose son homme. »

Jean-Paul Sartre a symbolisé, plus que tout autre écrivain du XXe siècle, la fonction de l’intellectuel engagé dont il est encore aujourd’hui l’emblème infatigable. Avec Simone de Beauvoir, il constitua un couple hors normes, indestructible et d’une activité débordante. Son œuvre à la fois prolifique et édifiante, est sûrement l’une des plus marquantes de notre époque. Le père de l’existentialisme, qui avait l’intuition que tous les hommes se valent, défendait avant tout la recherche d’une authenticité et d’un projet de vie où la conscience de soi génère une réelle quête d’essence.

Au travers de repères biographiques, et par l’analyse de l’œuvre et de l’engagement sartriens, Christophe Agogué établit un dialogue à distance avec l’écrivain. Il démontre ainsi comment la pensée de cet homme vit encore et s’avère profondément nécessaire aux questions sociétales et politiques actuelles.

Débrouilles postscolaires – Tome I

« Parfois l’on entendra dire, parmi les mères, ou jeunes, par de jeunes femmes africaines mariées ayant décroché : “Mon diplôme c’est celui de mon mari ou de mon fils”.
Être diplômé en milieux congolais est donc une fierté et un honneur statutaire collectivement partagés en R.D.C. »

Dans le système actuel, mais surtout en République Démocratique du Congo, c’est le travail humain qui assure le mieux les réussites sociales durables. Suite à des entretiens réalisés avec de jeunes diplômés de Kinshasa et Kikwit, Cléophas Bakangolo Mukwa a pourtant constaté qu’il s’agissait plutôt de débrouille professionnelle largement généralisée. À quoi est-elle due ? À des lacunes dans le système scolaire ou à l’imperfection des structures institutionnelles ? Doit-on l’imputer aux jeunes, qui sortent pourtant qualifiés de l’enseignement supérieur, ou au contexte culturel ?

C’est pour approfondir ces enjeux sociaux que l’auteur s’est penché sur ces questions d’exclusion des jeunes issus des milieux scolaires. Par cette thèse, il cherche autant à comprendre les systèmes actuels de la formation scolaire qu’à analyser leurs problèmes d’embauche. L’étude de ces diplômés en crises d’insertion permet d’introduire les chercheurs à une investigation plus poussée sur les non-dits et autres horizons encore inexplorés de cette après-scolarité manquée.

Sauvons l’impôt pour préserver l’État

« Le pouvoir fiscal d’un État suppose la présence de trois éléments : (1) une administration fiscale (2) chargée de percevoir des impôts (3) dans le cadre d’une légalité appartenant à l’ordre juridique dont elle dépend ». De nos jours, l’essoufflement de ce pouvoir se manifeste à travers les difficultés qu’éprouvent de plus en plus les États à mobiliser les ressources nécessaires pour la couverture des dépenses publiques. Il est perceptible à travers l’hémorragie fiscale causée par plusieurs facteurs. Cependant, compte tenu de leur spécificité, certains d’entre eux comme les paradis fiscaux, le secteur informel et l’économie numérique ont fait l’objet d’un traitement particulier.

Alors que la notion d’État reste indissociable de celle de souveraineté, l’adhésion aux différentes organisations internationales telles que l’ONU pose la question de la reconnaissance, de l’autolimitation et du partage de la souveraineté. La coopération multilatérale qui en résulte ambitionne de couvrir tous les domaines (politique, économique et social). En matière de fiscalité, cette coopération internationale débordée par la globalisation de l’économie, est minée par la concurrence à laquelle se livrent les juridictions fiscales.

La mise en place d’une fiscalité globale subsidiaire adossée à une organisation intergouvernementale universelle permettrait-elle de coordonner efficacement l’ensemble ? C’est en tout cas le parti pris de l’auteur. L’ouvrage s’articule ainsi autour de trois chapitres : le premier présente les causes de l’érosion du pouvoir fiscal de l’État, le second donne un aperçu des mesures prises par les États pour contenir ce phénomène et le troisième porte sur la proposition de réforme du système fiscal international.

L’intelligence de l’évolution

« Ce document a pour objectif d’élargir les possibles concernant la création de l’Univers et l’évolution des espèces biologiques, que celles-ci soient terrestres ou éventuellement peuplant d’autres planètes. La mécanique quantique nous a appris que l’on pouvait raisonner en additionnant tous les possibles auxquels on associe, pour chacun d’eux, une certaine probabilité (équation de Schrödinger). Elle nous a appris également que, lors de certains événements, cette équation (fonction d’onde) pouvait s’effondrer, conduisant à sélectionner un seul possible menant à une infinité de nouvelles options. Il est vraisemblable que cette approche soit celle suivie au niveau de notre cerveau, dessinant en permanence notre ligne/trajectoire de vie peuplée de décisions conduisant à de nouveaux possibles. »

Entre matérialisme réducteur qui prend l’être humain pour une machine et religions qui essaient de l’endoctriner afin de l’asservir, il existe une autre voie, la voie d’ICI, l’Intelligence Créatrice Immanente. Un concept que l’auteur développe en émettant l’hypothèse qu’il serait probablement à l’origine de l’univers et de son évolution, aboutissant aux Intelligences Créatrices Humaines dont l’Homme est le digne représentant.

C’est d’une plume convaincue que l’auteur partage sa plus grande croyance. Il expose notamment que l’évolution biologique et son écosystème ne peuvent avoir été créés que par une Intelligence supérieure dans la mesure où le processus est trop ordonné et intègre pour résulter du hasard…

Une troisième guerre mondiale pas comme les autres

L’auteur analyse en profondeur l’Islam, le sunnisme, le chiisme, l’Islamisme, le djihadisme, le khomeynisme, la structure de la République Islamique d’Iran (RII), celle du royaume d’Arabie Saoudite (RAS) et leurs rôles dans la dynamisation de l’islam radical : Hezbollah, Al Qaeda, l’État islamique (EI) ainsi que d’autres thèmes apparentés.
Il conjecture que l’épicentre du djihadisme est le Moyen-Orient où les États se désintègrent au profit des milices et entités islamistes de toute sorte et de tout acabit dans une constellation informe et insaisissable.
Il montre que c’est en 1979, dans le cadre du monde bipolaire, que la première impulsion fut donnée au mouvement islamiste, d’abord par l’instauration de la République Islamique d’Iran (RII), sanctuaire du djihadisme chiite, suivie de près de l’envol du djihadisme sunnite en Afghanistan, donnant naissance plus tard à Al Qaeda dont Daech est une excroissance.
Il démontre que cette concomitance des deux djihadismes préfigure la dangereuse dialectique de leur évolution, menant inexorablement à leur lutte fratricide, estimant qu’elle ne fait que les renforcer dans leurs communautés respectives au détriment des modérés et des minorités.
Il dit qu’on ne peut pas, par exemple, combattre l’EI en Syrie en pactisant directement ou indirectement avec la RII, ou Assad ou le Hezbollah, c’est-à-dire en se rangeant du côté du djihadisme chiite.
Il conclut que face à cette menace globale qui guette toutes les populations, non musulmanes et musulmanes modérées, la réplique exige la formation d’une alliance mondiale et la mise en berne des divergences politiques des uns et des autres. Pour terminer, il propose les lignes générales d’une stratégie de confrontation.

La croix des condors

Destination mythique, le Pérou est un pays qui n’en finit pas de faire rêver l’explorateur en chacun de nous. De ses montagnes vertigineuses naît le fleuve le plus long et puissant du monde : l’Amazone, qui serpente sous une selva fabuleuse où vivent encore quelques tribus d’Indiens. Aux pieds des volcans enneigés et au bord des cañons abyssaux se sont développées dans ces contrées de brillantes civilisations, les premières du continent américain. Quel art chez leurs potiers et leurs tisserands ! Quel témoignage de la richesse de ces cultures primitives et de leurs croyances ! Leurs orfèvres ciselaient des offrandes magnifiques et recouvraient de métal sacré les idoles, les palais et les sanctuaires, créant ainsi la légende de l’El Dorado qui allait aiguiser la cupidité féroce des conquistadors. Le désert aride a conservé là, quasi intactes, des momies millénaires, et servi de canevas aux énigmatiques dessins et lignes de Nazca…

Dans le ciel bleu illuminé par Inti, le Dieu-créateur, le condor, l’oiseau sacré, le plus grand de la Terre, plane au-dessus de la croix des envahisseurs : tout un symbole.

Le Pérou est également le pays où les indiens Uros du lac Titicaca vivent sur des radeaux de roseaux, où les ingénieux agriculteurs andins ont accroché des terrasses au flanc des montagnes, où les Incas ont construit des forteresses aux pierres colossales. Près de Cuzco, le Nombril du Monde, se cache dans les cimes la Cité perdue : Machu Picchu.

L’école des hommes

« L’éducation présente la double caractéristique de rendre effective et garantie la reproduction de la classe bourgeoise et de constituer un investissement à long terme difficilement compatible avec l’action politique, qui recherche une rentabilité électorale à très court terme. Une refonte totale de l’enseignement ne peut se concevoir sans un effort d’investissement calibré sur 20 à 30 ans, le temps de construire une nouvelle génération. En cela, on se posera bien sûr la question de la compatibilité de nos règles de fonctionnement démocratiques avec une véritable politique désintéressée de l’éducation et du savoir. »

Alors qu’elle se confine aujourd’hui au simple rôle de production et de reproduction des élites, condamnant au passage des pans entiers de notre société à la marginalité, « L’école des hommes » doit changer. Offrir à chaque enfant la possibilité de devenir un citoyen pleinement actif au sein de la collectivité, lui permettre de réaliser un projet de vie, tout autant personnel que professionnel : c’est à ce prix que l’école sera vraiment démocratique. Et révolutionnaire, aussi !

En s’appuyant sur la philosophie dès le plus jeune âge, en s’attachant à la promotion des sciences, de la politique, de l’art et de l’amour – les 4 dimensions vertueuses d’Alain Badiou –, l’éducation publique doit aussi remettre en cause ses méthodes. Terminé, le primat de l’académisme et le monopole des agrégés sur la dispense du savoir, place aujourd’hui à une formation plus participative, moins verticale, où chaque citoyen trouvera un rôle à sa dimension. Il s’agit là d’un véritable programme nécessaire à la reconquête d’une organisation démocratique et citoyenne, mais aussi, et surtout, un vrai défi face à la résignation libérale et passive du consommateur gouverné.

Mots rebelles, vies nouvelles

« Soyons joyeux, notre chair n’est pas triste et nous n’avons pas lu tous les livres, nous pouvons continuer à inventer des mots, à ignorer les ignorants et à ne pas hésiter à aller vers le latin de messe, « Confiteor, Deo Gracias, Urbi et Orbi », à aller vers Thélème, pour les désirs et les soifs de demain. Gargantua est le grand géant à grande bouche, il mange dix mille poules en un seul repas et avale dix fleuves de vin, Pantagruel est une pente à gruau et à gruyère, avaleur de montagnes. »

Comment vient ce mouvement des mots en révolte ? À l’écoute des échanges quotidiens avec des hommes, des femmes, des enfants et des adolescents en perpétuelle contestation. Par-delà les couches et les conglomérats, les alluvions et les sédiments, la géologie et toute cette accumulation océanique, s’ouvrent les lèvres du futur : une rébellion contre le sens, une échappée du désir de vivre.

Le sens de la vie

Dans un environnement marqué par la prédation des comportements et la recherche stérile des récompenses, la place de l’homme est indéniablement questionnée, et la recherche d’un bien standardisé de civilisation menace d’accomplir un repli sur soi : caractéristique générale du pratico-inerte, du corps sans organe historique.

À l’heure où l’économie et le sens de la propriété prennent le pas sur la solidarité et l’engagement artistique, comment redonner sens à une vie trop émoussée par notre société de normalisation ?

L’alternative est donc posée, entre une adhésion défaitiste au modèle occidental – financier et matérialiste – asphyxié par le spectre de la dangerosité de l’anormal, et un nouvel espoir pour le devenir et l’accomplissement de l’homme fondé sur l’éducation, la créativité artistique et le partage collectif. En somme, une nouvelle exigence sociale et politique, qui refuse le confort et les certitudes du matérialisme pseudo-démocratique, où la place de l’homme s’avère incompatible avec les exigences très lisses du gestionnaire.

S’appuyant sur des références philosophiques et littéraires similaires à son premier essai, Le sens de l’histoire (Sartre, Foucault, Deleuze et Badiou), Christophe Agogué s’attache à positionner l’homme face à ses finalités et ses vérités, au sein d’un monde fragilisé par une crise économique, culturelle et éducative. Perspicace, son message est un appel à un sursaut civique, politique et éthique.

Le Mystère de la « Sainte Trinité » enfin élucidé

« Sur la Personne de Dieu, deux tendances majeures aujourd’hui s’affrontent : les unitaristes et les trinitaires. Pour les unitaristes, une minime frange du christianisme, les Écritures sont formelles : il n’existe qu’un seul Dieu ! »

Pour avoir connu Jéhovah par le biais de Moïse, la communauté chrétienne a développé des racines communes avec la communauté juive. Cependant, le doute subsiste : Jéhovah et Jésus sont-ils une seule et même personne ? Qui est l’Esprit Saint ?

Pour répondre à ces questions, Augustin Muzalia propose à ses lecteurs une solide étude de la Parole dans une vision résolument novatrice et compacte, en évitant toute position figée ou carcan dogmatique. Avec cet ouvrage, il entend aider les chrétiens à prendre position sur leur religion et à mieux connaître ce Dieu et son plan pour l’humanité, qu’ils ne comprennent pas tous. Novateur, il aborde ce sujet séculaire avec une doctrine originale, dense et cohérente.