Thème : Romans policiers

Le murmure des innocents

« Pierre Tremblay comprit rapidement que la mère avait eu ordre de se taire. En effet, elle ne regardait ni le policier ni son mari, mais gardait le regard fixé sur le sol. Tremblay reprit la conversation.
– Vous n’avez rien remarqué dans son comportement, les jours précédents, qui aurait pu vous donner des signes avant-coureurs de ses idées suicidaires ? »

De 1968 à 2023, une suite de meurtres et de suicides frappe le Québec.
Kali, une jeune détective, se lance sur les traces du Caméléon, ce tueur impitoyable qui cible les pédophiles. Au fil de son enquête, elle plonge dans les ténèbres, révélant des crimes commis par des hommes en position d’autorité : pères de famille, psychologues, professeurs, artistes, restaurateurs, politiciens…
À travers les bouleversements qui marqueront l’histoire du Québec, cette saga judiciaire invite le lecteur à explorer la psyché d’un criminel méthodique et à questionner les fondements de la justice. Peut-elle se suffire, ou une justice parallèle est-elle nécessaire pour rétablir l’équilibre ? Même Pierre Tremblay, l’enquêteur aguerri qui a connu le début de la sanglante série, commence à en douter.

De l’autre côté de l’ombre

« Évidemment, il fallait prendre ce témoignage au sérieux, même s’il était très étrange. En général, les témoins voyaient un événement ; dans le cas de Mathilde, elle avait ressenti une attitude malsaine chez une parfaite inconnue, mais son sentiment était si fort qu’elle avait décidé de la suivre. C’était très incroyable, mais finalement, pourquoi pas ? Pourquoi cette femme souriait-elle ? Pourquoi était-elle partie si vite après les cris de la maman de Victor ? »

Cinq ans après les terribles événements qui ont endeuillé la ville du Havre, l’officier de police Valentin Parvy est à nouveau confronté à une série de crimes.
Avec l’aide de son équipe d’enquêteurs et d’Océana, son épouse criminologue, il traque la mystérieuse femme aux cheveux noirs. Est-elle la responsable des disparitions d’enfants ?
Qui est le tueur de l’ombre ?

Le Diable et la Lune

« Mais Valentin avait besoin de travailler encore, de chercher, de trouver une explication, il devait y avoir une clé quelque part, quelque chose qui lui échappait, mais quoi ? Il reprit la liste et chercha un indice, une idée, qui sera la prochaine victime ? Peut-être que le tueur le provoquait et qu’il n’y aurait jamais de prochaine victime, il voulait y croire de tout son cœur, mais face à ce fou et à ce qu’il était capable de faire, rien n’était certain. »

Le Havre, 2008. Des meurtres atroces sont commis et leur auteur semble prendre un cruel plaisir à harceler l’enquêteur principal avec des missives signées « Le serviteur du Diable ».
Au fil de ses investigations, l’officier de police judiciaire Valentin Parvy, aidé par son équipe et une psychologue criminologue, met au jour les rouages d’une implacable vengeance. Sur la trace d’un tueur méthodique et sans pitié, il lui faut maintenant affronter l’horreur à l’état pure. L’enfer existe, les rescapés de la secte de l’étoile noire peuvent en témoigner…

Double meurtre au pays des cigales

« Nous, les curistes, nous avons très vite formé un groupe, en dépit de nos différences et de nos origines diverses. Quand j’y pense, je crois en comprendre la raison. Nous étions quasiment en vase clos, dans cet hôtel perdu dans l’arrière-pays provençal, et chacun de nous avait un problème existentiel, un mal plus ou moins profond qui ressurgissait au moment idoine, lorsque nous nous trouvions dans une situation nouvelle et perdions le fil de notre routine. »

Une station thermale et des curistes amenés à se fréquenter durant plusieurs semaines. Le cadre est planté, les acteurs peuvent maintenant nouer des sympathies ou développer des animosités. Lorsque deux meurtres sont commis, l’enquête se porte d’emblée sur le coupable le plus évident, le narrateur, témoin de chacun des crimes. Il lui faudra, avec l’aide d’un autre curiste, se démener pour prouver son innocence.

Masure couleur pastel

« Les yeux mi-clos fixés sur le plafond, la bouche encore entrouverte, un large cercle rouge sur la poitrine, il était mort. Dans sa petite masure colorée, Bent Larsen était décédé. »

Les codes du roman policier à l’anglaise sont réunis dans ce huis clos criminel : un village paisible, un soleil radieux et un peintre assassiné à l’heure du thé. La police enquête, talonnée par un détective perspicace. Six suspects, chacun possédant sa part d’ombre. Qui est coupable ?

La fille des forces de l’ordre – Partie 2

« – Vous parlez d’un seul mec… vous nous avez dit qu’il y avait deux assassins.
-Oui!
– Alors, qui est le deuxième ?
-Son pote!
– Comment ça ?
– Celui qui allait se faire larguer est venu accompagné de son pote ! »

Après un début de carrière remarqué Marie Hans s’est fait une place à la gendarmerie. Elle est désormais confrontée à un choix : celui de quitter ou non son poste pour entrer dans les services de renseignement. Va-t-elle accepter cette opportunité et travailler aux côtés de l’agent Ray ? Une décision bousculée par de nouvelles affaires, notamment celle de « Greg », un tueur en série qui file entre les doigts des enquêteurs…

Savasana

« Après toutes ces années, c’est encore la voix du guru qu’elle entend quand elle s’assoit pour méditer. Au lieu de se battre, cette fois-ci, Laura laisse la voix du mort la guider. « Fais le vide, Laura. Regarde tes pensées, mais laisse-les passer. Ressens tes ischions qui sont en contact avec le sol. Laisse ton souffle être. Ne fais rien. Tu n’as rien à faire. Laisse ton corps respirer. Tu sais déjà tout. Tout ce que tu as besoin de savoir est à l’intérieur de toi. Toi et moi, nous sommes un. Toutes les réponses sont en toi. »

« L’art du Savasana, ou posture du cadavre, est d’arriver à lâcher prise dans un état de conscience avancée. La mort est la réalité ultime et celle qu’on fuit le plus souvent. C’est en acceptant totalement la mort que la vie prend tout son sens. »
Ces mots viennent spontanément à l‘esprit de la détective Laura Tremblay, appelée pour enquêter sur le meurtre de son ancien maître yogi, guru Simha. Ce crime l’oblige à se pencher à nouveau sur des souvenirs éprouvants, à explorer ses failles et à renouer avec un milieu qu’elle avait quitté il y a plusieurs années. Et, à découvrir ce meurtrier encore tapi dans l’ombre.

La fête est finie, rangez les cotillons

« Puis elle s’assit en face de François, prit sa tasse de café dans ses deux mains et souffla consciencieusement sur le nectar encore brûlant avant de commencer à tremper ses lèvres dans l’arabica. Un silence presque convivial s’était installé dans l’espace qui les séparait. La petite fenêtre qui surplombait l’évier était entrouverte et laissait entendre le ballet des hirondelles qui s’affairaient déjà à ravitailler leur marmaille dans les nids érigés entre les tuiles des toits. »

C’est dans un charmant village provençal que les capitaines de police Djorka et Zandi ont décidé de passer leurs vacances. Pourtant, malgré un soleil radieux, les deux hommes n’auront guère le temps pour les baignades et le farniente ! Plusieurs homicides endeuillent ce coin tranquille, et les deux coéquipiers sont bien vite sollicités par la gendarmerie locale, habituée à plus de calme.
Entre une équipe d’athlétisme dont chacun se demande pour quelle raison elle a choisi le village pour ses entraînements, une vendeuse de souvenirs plongée dans la tourmente et des employés municipaux pittoresques, le choc des cultures est bien souvent au rendez-vous.

Le caméléon

« Comment puis-je laisser la vengeance de mon cœur dominer l’intelligence de mon esprit ?
En écrivant ces mots, au fond de moi, j’ai conscience que je ne répondrai pas à mes questions. Celui qui prétend que poser les questions, c’est déjà un peu y répondre, celui-là se fourvoie.
Non, le seul intérêt que je devine dans cette démarche, c’est de me laisser croire que je fais toujours partie de la race des hommes, alors qu’en réalité, depuis bien longtemps, et pour les besoins de cette drôle de cause, je suis devenu… un caméléon. »

Lorsque l’inspecteur Julien Pelletier prend la direction de l’enquête concernant le meurtre d’un vieux député-maire, il n’imagine pas que ses investigations vont le mener plus de cent ans en arrière à fouiller dans le passé de deux familles que tout rapproche et que tout oppose à la fois.
Mais la vérité se trouve-t-elle aussi loin, où ne se cache-t-elle pas plutôt dans les blessures et rancunes créées par l’exercice du pouvoir politique pendant des décennies ?
Il faudra au policier autant de jugeote que d’intuition pour parvenir à confondre le coupable.
À supposer qu’on puisse démasquer… un caméléon.
Philippe Froget est avocat et auteur d’œuvres dramatiques parues aux Éditions du Panthéon :
« Foutue guerre » (2015), « Ultime conviction » (2016),
« Encore tant de choses à te dire » (2017),
« AiMe comme… Marquise » (2018), « Un tout dernier tango » (2019), « Le double jeu de d’Artagnan » (2021) et « Shangrila » (2022).

L’ombre des Sassi

« Le soleil est déjà levé, en pleine forme. Une pie frappe aux carreaux, au premier étage d’une ferme. À travers la vitre entrouverte, éclaboussée de sang, elle a repéré un objet brillant très vite caché à sa vue. Elle est dépitée, et ce n’est certainement pas la forme inerte, étendue sur le lit, les bras ballants, qui l’intéresse. Du sang, beaucoup de sang finit de s’écouler, sur le plancher de bois, mais aussi aux murs, le long des rideaux. Et sur cette fenêtre plein est. »

Le lieutenant de gendarmerie Louis Garand enquête sur un meurtre particulièrement violent : un vieil homme, retrouvé ensanglanté dans sa ferme. Le mobile semble inexistant et les pistes sont infimes…
Tout en cherchant à régler ses problèmes personnels, avec les femmes comme avec sa hiérarchie, notre fin limier tente d’éviter les assises aux deux suspects. Mais sont-ils vraiment innocents ? Ne méritent-ils pas la sordide réputation qui les précède ?

La couleur des astres morts

« Héléna Colic avait été étranglée, par une personne qui ne lui était pas inconnue. Selon la cuisinière qui avait quitté le logement à vingt et une heures trente, Héléna était seule ce soir-là. Elle avait mangé un repas frugal puis, en robe de chambre, s’était installée devant la télévision. Détail curieux, Héléna avait été retrouvée par sa femme de ménage, le lendemain, allongée sur le lit de sa chambre, vêtue d’un tailleur Lanvin, bleu, avec des escarpins aux pieds. Comme endormie.»

Paris, 1974 : une célèbre actrice est assassinée dans son bel appartement. Un seul objet manque : un tableau a priori peu remarquable… C’est une nouvelle enquête pour le commissaire Rampal et sa brigade qui s’annonce. Les choses se compliquent lorsqu’ils croisent le chemin d’un jeune homme inconnu débarqué des États-Unis, prétendant être le fils de la défunte.
Une galerie de personnages hauts en couleurs et un mystère opaque aux multiples replis ponctuent ce récit palpitant qui trouve son origine dans le milieu du cinéma et de l’art des années soixante-dix.
Politologue, écrivain, auteur de plusieurs dictionnaires, Jean-Michel Salgon est également un ancien rédacteur de la revue Les Cahiers de l’Orient. Le Cadavre récalcitrant, son précédent polar, est paru en 2019 (Éditions du Panthéon).

Glaciale

« Volontaires. Tous.
Depuis trois mois ils croisent donc dans l’hémisphère sud, parcourant de long en large l’océan austral à persécuter plus précisément ceux qui déciment à grande échelle les espèces animales et végétales en grand péril. Ils sont cinq hommes et trois femmes.
À part leur énergie farouche, leurs armes ? Le ramdam ! Faire du bruit, énormément de bruit. Avertir le monde des menaces par une voix omniprésente sur les ondes radio. »

« Glaciale », Roman froid ? N’en croyez rien. Dès les premières pages vous serez plongés dans une énigme meurtrière carabinée, un bain bouillant où vous croiserez des scientifiques de très haut vol, le Marquis de Sade et les services secrets (chinois et français), la campagne de Russie et Sigmund Freud, une homérique description d’un terrible virus, un éminent professeur marseillais, une leçon fellatoire, des assassins peu fréquentables et j’en passe. Où serez-vous ? À Bruxelles, à Paris, dans l’Antarctique, ailleurs encore, mais surtout sur la page blanche, la page de l’écriture. Un roman policier nous capture par l’intrigue : celle de « Glaciale » rebondit à souhait. Il fallait aussi qu’il nous capture par le langage. Ça tombe bien, Nicolas Florence est un étonnant jongleur de mots.
Jean-Marie Piemme

Le mensonge d’une danse

« Luc ne comprend rien ce matin. Aucun cours n’a été assuré. Ils attendent tous dans la même salle de classe. Tous les autres élèves chuchotent. Il est parano, ou tout le monde le regarde et parle de lui ? Ils ont tous l’air fatigué, pas bien. Ils lui jettent des regards parfois tristes et parfois des regards assassins. Mais qu’est-ce qui se passe ? »

Géraldine, jeune danseuse à l’avenir plein de promesses, est retrouvée assassinée dans l’enceinte de son école. Tous les soupçons se portent sur Luc, un ami aux habitudes réservées… qui porte un lourd secret. Mais quel est-il ? La vérité a un prix, mais cela vaut-il toujours la peine de le payer ? Un nouveau mystère à résoudre pour Myriam et Moustique !
Toute vérité n’est pas bonne à dire. Yoann Belan en fait la preuve dans ce nouvel opus des aventures de son enquêtrice fétiche, déjà rencontrée dans « Une livraison mortelle » et « Un traitement de choc ».

Réduit au silence

« À mon réveil, le soleil éclairait déjà la ville, miroitant sur la neige qui était tombée la veille. Quand je posai mon pied sur le sol froid, je ressentis toute la lourdeur des événements de la veille. Maggie était morte. Morte. Le mot seul me donnait la nausée. J’imaginais une place noire, terrible, où la joie n’existait pas. »

Killarney, Vancouver. Le matin du réveillon de Noël, la jeune Ariel découvre avec effroi le corps sans vie de sa meilleure amie, Maggie. Avec l’aide d’Arthur, le père de cette dernière et commissaire de police de la ville, elle mettra tout en œuvre pour découvrir qui est l’auteur de cet acte irréparable. Ensemble, ils découvriront que Maggie est loin d’être la seule victime…

Meurtres autour du passé

« Une semaine passa. Un mois d’octobre particulièrement ensoleillé laissa place à un mois de novembre plutôt maussade. L’enquête n’avançait pas, elle avait plutôt tendance à stagner, le peu de piste s’envolant au fur et à mesure des jours. Pourtant, je savais que c’était l’unique chance de me refaire une réputation dans le milieu. »

Plongé dans une enquête macabre, directement liée à son passé, l’inspecteur Lucas Telou tente de garder la tête froide. Sous la menace d’un chef acariâtre, il lui faut résoudre coûte que coûte cette affaire pour pouvoir conserver son poste.
Pour l’aider, Cyril, le séduisant médecin légiste dont le charme ne le laisse pas insensible…

Tous des chiens galeux

« Le ballet des hommes de la scientifique, aux allures de cosmonautes dans leur combinaison et leurs bottes blanches, semblait toucher à sa fin. Celui qui devait être le chef de groupe avait rassemblé sa tribu devant l’université et faisait apparemment un point avec, dans les mains, ce qui ressemblait à s’y méprendre à un plan des locaux. Plusieurs boîtes étaient empilées à leurs pieds et les policiers faisaient l’inventaire de leur butin, genre carte au trésor, les hélicoptères en moins. »

Sylvie Pagini, la quarantaine chic, est professeure à l’université et n’apprécie que très modérément son métier et ses collègues. Au moment où elle pensait que sa carrière n’évoluerait plus, elle se voit du jour au lendemain propulsée, par son directeur, cheffe de projet dans le cadre de la préparation d’un colloque international.
Alors que cette nouvelle responsabilité aurait dû la hisser au sommet de la gloire dans la sphère universitaire, l’enseignante va vivre un véritable calvaire et devoir faire face à de nombreuses péripéties qui finiront par la mettre en danger.
Pourquoi son assistant qui lui était entièrement dévoué disparaît-il subitement à quelques jours du colloque ? Quels sont les liens obscurs qui se tissent entre les membres de son équipe et qui conduisent parfois certains à des passages à l’acte effroyables ?
Pourquoi cette association de réinsertion installée chaque semaine dans le hall de la faculté pour vendre des gâteaux, connaît-elle autant de turbulences ?
Existe-t-il un lien entre ces différents éléments ou est-ce simplement le fruit du hasard ?
Docteure en gestion, Michèle Van de Portal publie. habituellement dans des revues scientifiques traitant des Ressources humaines. Passionnée de littérature policière et de romans psychosociologiques, elle met à nouveau en scène dans ce roman très noir, le tandem improbable des deux policiers Zandi et Djorka.

Crimes en héritage

« Paul ne répond pas. Il ne peut plus répondre ! Il faut qu’il s’allonge, il va tomber. La tête à dix centimètres de la table, les bras lourds, il fait un geste vers le stylo qui se trouve tout près de lui.
L’inspecteur se précipite avec le procès-verbal et fait signer les aveux de Paul Laugier.
À la question de savoir s’il a un avocat, il répond par la négative d’un hochement de tête : on lui en désignera un d’office. »

Père et époux modèle, Paul Laugier occupe paisiblement sa retraite à jardiner et à rendre service à son village. Au cours d’une randonnée qu’il organise, il rencontre une femme mariée qui lui fait perdre la tête. Quand le mari de sa maîtresse est assassiné, tous les soupçons pèsent alors sur le pauvre Paul qui voit le piège se refermer sur lui. Traîné aux assises, va-t-il parvenir à prouver son innocence ?

Le Cadavre récalcitrant

« Bernard Lariège était à l’origine un éditeur spécialisé qui publiait, certes des  auteurs engagés, mais aussi quelques poètes contemporains, généralement allemands. Incidemment, Charles feuilleta, d’un air distrait, plusieurs revues qui étaient rangées sur l’une des étagères. Son regard s’arrêta sur le titre étrange d’une publication, « Le Cadavre récalcitrant». Après avoir constaté que le rédacteur en chef de cette revue, au demeurant confidentielle, était un certain Bernard Lariège, il reposa le volume en songeant qu’il était en train de s’égarer. »

11 avril 1971 : un célèbre dramaturge meurt assassiné près de son domicile parisien. Un suspect est rapidement arrêté et l’affaire est sur le point d’être classée… C’est sans compter sur l’enquêteur Charles Dangel, qui découvre que l’un des ancêtres de la victime est décédé dans les mêmes circonstances, exactement cent ans plus tôt. L’histoire se répète et les deux victimes ont d’autres points communs, comme cette revue au titre étrange dans laquelle ils écrivaient tous deux… Charles Dangel n’est pas au bout de ses surprises.

Vengeance à l’hôpital

« Un repas raté au restaurant se remet à plus tard, tandis qu’un patient qui nous quitte le fait pour toujours. »

Le docteur Landry travaille à l’unité des soins intensifs, où il accueille un patient particulier, puisqu’il s’agit d’un confrère. La mort suspecte de ce dernier et l’enquête policière qui suit vont mettre à mal toutes ses certitudes. Parviendra-t-il à découvrir la vérité ?

La fille des forces de l’ordre

« – Je vous préviens juste que vous aurez une nouvelle victime à trouver dans quelques jours… Ah oui, n’essayez pas de me chercher ni de me contacter, c’est moi qui vous contacterai…
Il a raccroché aussitôt. Et apparemment, l’appel était trop court pour le localiser. Pourquoi moi ? Pourquoi pas un flic qui a de l’expérience dans ce domaine ? »

Marie Hans a choisi de devenir gendarme. Elle fait rapidement la preuve de son efficacité à résoudre des enquêtes complexes, malgré la présence envahissante de son père, policier. Il lui faut maintenant faire des choix personnels décisifs, qui pourraient bien mettre sa vie sens dessus dessous.