Thème : Essais littéraires

Henri Bosco et Marcel Brion, approches

« Tous deux ont affronté les thèmes majeurs de l’existence terrestre dans le même esprit. Mais, bien entendu, leurs personnalités particulières ne leur ont pas donné pour chacun une ampleur identique : Brion fut particulièrement sensible à la vie d’Outre-tombe ; Bosco plutôt à la texture de la personnalité, à la scission éventuelle du corps et de l’âme, au double, au Paradis terrestre. »

Ils ont connu les honneurs et la reconnaissance du monde littéraire puis ont sombré dans un relatif oubli. Pourtant, leurs écrits – romans, essais sur l’art, récits d’inspirations diverses – recèlent des trésors de finesse et une touche fantastique que Bernard Vigneron met en exergue dans cet essai.

Quand Londres révèle les femmes au grand jour

« Aujourd’hui habitant à Londres, je pars à la rencontre de toutes ces femmes qui ont marqué ou marquent chaque pas de ces avancées historiques dans cette ville unique. J’arpente les rues, les musées, les parcs. Les jours pluvieux, je deviens « rat de bibliothèque ». Les beaux jours, je sors armée de mon appareil photo. Je me donne comme mission de découvrir et de comprendre qui sont ces femmes qui jouent ou ont joué un rôle important dans la société britannique.»

Prêts à embarquer pour un voyage à Londres à la rencontre de femmes remarquables ?
Elles entretiennent toutes un lien étroit avec la capitale britannique. Elles y ont vécu ou leurs actions, leurs talents sont représentés sous forme d’œuvres d’art exposées dans des musées emblématiques. Mary Quant, Ada Lovelace, Elizabeth Siddal et d’autres, anonymes, mais dont la détermination et l’énergie ont ouvert la voie à l’égalité des sexes.

Wanted

« Peu importe la période dont nous parlons, nous avons besoin de ces précieuses croyances qui nous laissent envisager qu’une force bienveillante veille sur nous et nous observe, ainsi qu’elle nous récompensera pour notre bonne attitude et nous offrira, de ce fait, probablement une place au paradis. »

Dans cet ouvrage, Arckaeus démontre, à travers des appuis historiques comme scientifiques, la relativité de la religion. Il cherche également, avec une malicieuse légèreté, à aborder le sujet de la croyance dans sa globalité, notamment, en touchant aux notions de réincarnation ou encore de destin, pour questionner le lecteur sur l’idée de Création. Pour autant, la question reste posée : notre monde n’est-il pas trop « bien fait » pour être le fruit du hasard ?
À méditer…

Tant que la terre durera

« Ainsi, que l’on parle de l’humain ou que l’on parle du sol, la Terre, que l’on traite de psychologie ou bien de géologie, on emploie les mêmes mots, les mêmes termes : couches, dépôts, strates.
C’est là le chemin que cet ouvrage propose de parcourir, à comparer sans cesse mais sans excès la Terre et l’homme, usant autant que nécessaire et sans limitation aucune de toutes les sciences et de leurs sous-branches s’il en faut »

L’histoire fait l’objet d’une transmission orale et écrite depuis l’aube de l’humanité. Mais posons-nous une question simple à propos des origines du monde, et avant que le verbe n’existe. Quelque chose a-t-il pu passer à travers les mailles du filet qui n’ait pas été écrit ? Quelque chose qui contiendrait et raconterait tout.
Une légende méditerranéenne vient apporter son éclairage pour augmenter la Genèse : tout est écrit, mais pas dans un seul livre, et pas forcément comme nous l’imaginons.
L’écriture n’est pas tout et ne décrit pas tout. L’image est une autre forme d’écriture qui peut, elle aussi, sinon tout expliquer, au moins nous enseigner, nous montrer une direction, même nouvelle et pleine de sens et de richesses.
C’est le thème de cet ouvrage que de mettre en évidence la complémentarité de l’image au texte, d’établir un lien entre homme et nation, tous deux issus de la même glaise, tous deux recevant leur souffle de vie.

L’étincelle d’espoir

« À toi qui me lis, il n’est jamais trop tard ou trop tôt pour être ce que tu as envie d’être. Il n’y a pas de limite de temps, commence quand tu veux. »

Beaucoup de gens s’enferment trop facilement dans la négativité et ont du mal à voir le beau dans leur quotidien. Dans ce recueil, Mariama Sylla nous apprend à poursuivre les étincelles, ces jolis brins d’espoir, de douceur ou de joie qui se cachent dans un rayon de soleil reflété dans une fenêtre, dans un bouton de rose ou dans le sourire d’un être cher. Apprendre à regarder vers le haut et à alléger son cœur, pour faire un premier pas vers la félicité.

Les textes du monothéisme à la faible lueur du bon sens

« S’il est fait un tri entre ce qui est présenté comme vérité et ce qui est décrit comme imagé, alors le texte ne peut être un livre sacré. Il peut présenter un intérêt littéraire, stylistique, poétique, parfois historique, mais il ne peut servir de fonde-ment à une religion, des principes de vie et d’actes dont les auteurs se réclameraient. »

Les religions ont été magnifiées par les écrivains et les artistes. Les œuvres picturales, sculpturales, architecturales, musicales ont émerveillé les fidèles et fait naître ou fortifié leur croyance. Les cultures religieuses ont transcendé les dogmes. Le ravissement des sens engendrait l’émotion et la passion, et faisait passer au second plan les faits, principes, préceptes, commandements figurant dans les textes fondateurs de la foi. Mais ceux-ci sont souvent bien éloignés des beautés culturelles.
Les contradictions, invraisemblances, incohérences des livres saints et parfois la cruauté de leurs contenus sont ignorées. Les prêches, sermons, prières les évitent soigneusement. Cet essai a pour objet d’en souligner quelques-uns des aspects.

COVID-19 – Des solutions, pas de polémiques

« C’est pourquoi nous devons désormais considérer comme des biens vitaux les masques, les gants, les surblouses, les charlottes, les lunettes, bref, tout ce qu’on désigne sous le terme d’équipement de protection individuelle (EPI). Leur commerce doit être régulé. L’importation doit être interdite tant que le quota annuel de sortie du stock national n’est pas atteint. Ils doivent échapper au fonctionnement normal du marché. Le Code de la santé doit l’emporter sur le Code du commerce. »

Durant la crise du COVID-19, le flot continu des polémiques a suscité énormément d’idées fausses. En les dépassant, cet ouvrage fait émerger des solutions efficaces pour se protéger lors des crises à venir.
Cela commence par rétablir certaines vérités : ce n’était pas à l’État de fournir les masques aux soignants au début de l’épidémie. C’est parce qu’on avait laissé des centaines de millions de masques du stock national devenir progressivement inutilisables que la France en a manqué. Le Président de la République n’a pas caché la pénurie de masques, puisqu’il l’a publiquement reconnue dès avril 2020. Le ministre de la Santé n’a pas inventé l’inutilité des masques en population générale, car cela correspondait au consensus médical admis depuis des années. La campagne de vaccination n’a pas été le fiasco annoncé. L’Union européenne et l’industrie pharmaceutique ont été nos bienfaiteurs.

Francs-maçons du Père-Lachaise

« S’il serait stupide de voir des francs-maçons partout, il serait profondément injuste de sous-estimer leur nombre et surtout leur influence dans l’histoire et leur implication dans la vie politique, sociale et intellectuelle de notre pays. Ils ont ainsi joué un rôle important dans la conception du cimetière du Père-Lachaise et dans sa physionomie. En cherchant les sépultures de francs-maçons connus, l’on découvre, parfois avec une certaine jubilation, l’appartenance à la maçonnerie de célébrités du monde artistique, scientifique ou politique dont on ignorait qu’ils furent initiés. »

Du résistant Pierre Brossolette à l’humoriste Pierre Dac en passant par Oscar Wilde, le maréchal Murat, Achille Zavatta, Rosa Bonheur et Jules Vallès, voici une invitation à rencontrer une centaine de francs-maçons inhumés au Père-Lachaise. Cet ouvrage rend hommage à des êtres d’exception qui ont contribué à modeler le monde d’aujourd’hui. Il cherche également à comprendre le lien entre leur engagement humaniste et leurs fonctions profanes.
On traverse ainsi l’histoire – le siècle des Lumières, l’Empire, la Commune, la Troisième République, la Résistance – pour découvrir les multiples visages de la franc-maçonnerie, sans en masquer les contradictions
C’est aussi l’occasion de rappeler les trésors architecturaux et sculpturaux du Père-Lachaise, véritable musée en plein air.
L’ouvrage est illustré des photographies des tombes et contient un plan indiquant leur situation. Ils permettront aux lecteurs de visualiser le lieu avant de venir le visiter.

Bougez-vous !

« Nous devons changer notre logiciel politique pour nous faire respecter de l’intérieur et de l’extérieur. C’est seulement en accomplissant une véritable révolution géopolitique que nous renforcerons la puissance française et européenne, ce qui nous permettra de mieux contenir et dissuader les semeurs de troubles et de guerres. »

« Bougez-vous ! » ou comment procéder pour être mieux entendu par nos dirigeants afin d’agir en confiance. Au travers d’un dialogue fictif, Jean Pierre Haber encourage les citoyens français à consolider leur nation et leur relation à l’autre en partant de bases saines de coopération et d’entraide. Il montre avec simplicité et pédagogie une voie durable à l’échelle de l’Europe, dans le respect de chacun et de la nature, tout en proposant une révolution géopolitique apte à contenir les semeurs de troubles et de guerre.

Journal du chat

« La perte de souveraineté est souvent évoquée lorsque l’on parle du déclassement de notre pays, de son manque de manœuvrabilité dans les affaires du monde, voire du discrédit géopolitique dont il serait affublé. Elle est parfois confondue, dans certains discours réactionnaires, avec la perspective fantasmée d’une fin de la civilisation occidentale judéo-chrétienne, son « remplacement » par des envahisseurs barbares issus d’une religion guerrière incompatible avec les lois de la République. Mais la question de la souveraineté transcende aujourd’hui les clivages gauche – droite, au même titre que celle de l’Europe. »

Troisième volet du « Musée imaginaire » de Christophe Agogué, ce « Journal du chat » prend la forme d’un dialogue entre le narrateur et son complice de chaque instant, Filou, félin de son état. À l’orée de chaque chapitre, le compagnon à 4 pattes vient glisser sa griffe, ponctuant le sérieux d’un sourire en coin.
La part belle est faite aux artistes, à certains lieux emblématiques ainsi qu’au sport. La teneur philosophique et politique de certains passages relève, elle, d’une volonté liée peut-être au contexte d’une société sous pandémie, mais plus sûrement à un exercice auquel se plie l’auteur avec l’aisance qu’on lui connaît : l’essai.
Romancier, essayiste, également auteur de pièces de théâtre, Christophe Agogué cultive curiosité et humanisme avec tout le zèle d’un observateur insatiable de ses semblables.

S’approcher de Dieu

« 1) Lequel de ces énoncés est vrai ? Apocalypse
a) vient du grec et signifie Révélation
b) vient de apothékè signifiant réservoir… de désastre naturel
c) est la belle-mère de Calypso qui hébergea Ulysse, le soulagea de la fatigue d’un long voyage et qui se réjouit de son départ le jugeant trop fatigant, trop dérangeant par ses discours… apocalyptiques »

Mêlant la forme d’un questionnaire à une réflexion toute personnelle sur les Écritures, « S’approcher de Dieu » quitte les sentiers connus pour un catéchisme buissonnier. Étymologie, éléments de théologie, études bibliques sont abordées sous la forme d’interrogations, ponctuées d’humour.

Ouverture à la vie

« La nature de la couleur en son primaire crée le divertissement. »

Dans ce recueil d’aphorismes, Laurent Lacroix offre une vision de la vie et des sciences humaines destinée à inspirer ceux d’entre nous qui cherchent à développer la compréhension de leur psyché et de celle d’autrui.
Il célèbre, à travers cette fenêtre ouverte, les relations humaines dans toute leur complexité et leur exaltation, mettant en évidence les beautés et les turpitudes de l’existence.

Crise sanitaire – Chaos mondial : aujourd’hui comprendre est devenu une question de vie ou de mort

« De tous ces « pourquoi » qui nous interpellent au plus profond de notre conscience morale – il est bel et bien question, en effet, de laisser mourir des humains ou, pire, de les faire volontairement mourir –, il ressort chez beaucoup de nos concitoyens une consternation et une grande indignation. Comment une telle abomination est-elle possible ? Comment en sommes-nous arrivés là ? »

Quelle est la place de l’homme dans notre société actuelle et dans un contexte de crise sanitaire et de chaos mondial ?
L’auteur engage une réflexion fouillée sur la question des dérives étatiques et de l’acquiescement – volontaire ou non – des citoyens face à la restriction de leurs libertés.
Devant l’ampleur du débat, il choisit une approche raisonnée et méthodique : pourquoi et comment en sommes-nous arrivés là ? Quelles sont nos perspectives ? Que sera l’humain dans un univers fonctionnaliste et transhumaniste ?
Il nous invite à nous interroger sur le sens véritable de notre existence, recherche qui, à son sens, ne pourra faire l’économie du divin.

Guinée – Espoirs et décadence

« Tout ce temps durant, je n’étais pas venu plus de trois fois dans ce pays au destin paradoxal. Dans cette bananeraie tropicale, les tracasseries administratives, le harcèlement des forces du régime, le racket, les brimades policières, les assassinats politiques, la corruption, la destruction des propriétés, la spoliation des biens privés, les emprisonnements arbitraires, les attaques à main armée, les enlèvements, les immondices, les épidémies, les gaz toxiques, l’insécurité et les tensions ethniques ont pris en étau un peuple moribond, exsangue, usé par plus de soixante ans de disette et de maigres débrouilles. Les Guinéens avaient fini par capituler, vaincus par le poids de la résignation. »

D’une dictature à l’autre, la Guinée poursuit sa descente aux enfers amorcée au lendemain de son accession à l’indépendance en 1958. Chaque nouveau régime suscite un immense espoir, aussitôt brisé par les répressions, les emprisonnements et les assassinats.
Dans cet ouvrage ponctué d’anecdotes personnelles, de références historiques et politiques, l’auteur dresse un bilan peu glorieux de son pays de naissance, en proie aux divisions ethniques depuis des décennies.

Une Humanité d’un tout autre genre – Ubuntu

« Depuis des millénaires, la femme n’est pas considérée comme l’égale de l’homme, en droit comme en termes de conditions de vie. Le sexe faible a traversé notre histoire… que l’homme croit avoir seul façonnée. Que l’homme, trop longtemps, a seul raconté. »

La philosophie Ubuntu considère que notre humanité personnelle est indissociable de celle de nos semblables ; nuire à l’une, c’est dégrader les deux. Dans cet esprit, Marc Elsen invite à porter un regard neuf sur la dualité entre le masculin et le féminin, tant dans nos rapports à l’autre que dans les préconceptions intériorisées. À travers l’Histoire, l’anthropologie, la psychanalyse ou encore la religion et la politique, l’auteur établit une évolution des rapports hommes-femmes au fil du temps tout en mettant en valeur la nécessité de dépasser la notion de binarité pour arriver à une complémentarité des genres.

Chine : comment l’Occident se fabrique des ennemis

« La peur et l’inconnu vont de pair. Ce qu’on ne connaît pas nous inquiète. Ce que le monde nous réserve aussi. Nous sommes tous conservateurs par nature. La peur de l’autre est sans cesse présente dans tous les discours politiques car nos démocraties ne fonctionnent que sur ces deux boutons. On se fait élire parce qu’on fait moins peur que l’autre. Comment alors résister à la tentation perverse de fausser le tableau et de tromper le badaud ?
Comme il n’y a pas plus éloigné de nous que la culture et l’histoire du peuple chinois, comment s’étonner alors de voir ce grand pays, ce grand peuple être sans cesse présenté comme un danger ?
Ne serait-ce pas nos propres fantasmes que nous projetons ? »

La Chine est l’objet de tant de fantasmes économiques et culturels qu’une salutaire mise au point s’imposait.
S’appuyant sur une documentation solide, peu présentée par les médias occidentaux, Serge Berthier examine ces questions qui inondent les plateaux télévisés : la Chine ment-elle ? Veut-elle imposer son mode de vie ? Oppresse-t-elle sa population ?
Les réponses ne sont pas celles que nous attendons, elles peuvent étonner, voire déranger. Et c’est bien l’un des objectifs assumés de cet ouvrage qui vise à rétablir quelques vérités.
Oui, présenter la Chine comme le « méchant », c’est relayer une fiction utile imaginée par des adversaires ou des concurrents de l’empire du Milieu. C’est aussi participer à un racisme étatique dirigé contre un pays que nous méconnaissons grandement.

Terre coutumière et société moderne en Afrique Centrale

« Mais depuis l’œuvre des compagnies concessionnaires des années coloniales, dans les possessions françaises, ces terres sont devenues des supports économiques de villes nouvellement fondées, notamment en matière d’approvisionnement en denrées alimentaires de première nécessité. Ces sociétés villageoises enracinées dans les terres coutumières sont progressivement satellisées par des pouvoirs économiques, politiques et socioculturels. »

L’auteur décrit et analyse la vie socio-économique des peuples anciens d’Afrique. Il fait état de la perpétuelle évolution de la terre clanique, rurale comme urbaine, dans la société contemporaine ; il aborde également la problématique de la transition foncière qui nécessite de faire des compromis entre système de clans et codes nouveaux de l’économie.

Entre hier et demain, la rupture

« Entre nos sentiments qui nous poussent à l’action et les émotions que l’on en retire, il y a ce que l’on fait sciemment, volontairement, et intellectuellement : nouer et gérer nos relations affectives. On ne fait pas que ressentir et éprouver involontairement des pulsions et des réactions. On doit décider de poser des gestes pour concrétiser les désirs qu’elles produisent. C’est à cet instant que l’on devient en partie responsable de ce que l’on aura choisi de faire. »

L’auteur explore diverses pistes de compréhension pour mieux appréhender les problèmes psychosociaux qui régissent la vie contemporaine. Utilisant pour ce faire une base autobiographique mais aussi scientifique, l’auteur nous fait apprécier la valeur sociologique de son point de vue, appliqué à un cercle intime, puis élargi au grand public. Un ouvrage de vulgarisation sociale très actuel, à visée pédagogique.

La création

« Le jurassique devait être un monde formidable et magnifique, c’était vraiment une planète vierge avec ses merveilles, mais aussi avec ses caprices. »

Les dinosaures fascinent Danni. Les traces qu’ils ont laissées, leur extinction sont autant de sujets qu’il aborde dans cet opuscule. Plus largement encore, il s’intéresse à la naissance de l’Univers et à l’apparition de la vie sur Terre.
Comprendre le monde en plongeant dans ses origines, c’est l’ambitieux défi que s’est lancé l’auteur. Êtes-vous prêts à le relever ?
Danni est également l’auteur de « Six mois avec moi » (Éditions du Panthéon, 2020).

Pour sauver la planète, et améliorer la vie des Français

« Il est temps d’adapter les lois à la vie de chacun de nous et non l’inverse, si je puis m’exprimer ainsi. Vous savez qu’aujourd’hui, à force de voir voter des lois pour tout ou pour rien, le pauvre Français ne s’y retrouve plus ; et j’ajouterai : même ceux qui ont participé à leurs constructions. »

Notre Terre se défait sous nos pieds, notre nation décline. À ces constats désolants, l’auteur oppose une réflexion porteuse d’espoir. Pour lutter contre la débâcle générale, il propose ainsi des solutions pragmatiques, allant de la simplification de l’attirail juridique à une adaptation de la Constitution de 1958 aux enjeux contemporains.