Le MAL appelle le MAL.
Le sage cherche la sagesse, fait du BIEN, ne s’en vante jamais.
Le plus grand BIEN que nous pouvons procurer aux autres, c’est de leur faire découvrir leur propre richesse car le bonheur, c’est d’être BIEN avec soi-même.
Un homme ne doit jamais oublier
qu’autrefois, il n’était pas, sur la terre,
et qu’il n’y sera pas toujours,
le monde a vécu et vivra sans LUI…
Magdeleine Plault nous invite à suivre un fil. Elle nous guide vers la réflexion. Sa problématique originelle, dans une volonté d’éclectisme, s’éclaire un peu plus à chaque nouveau thème abordé.
Elle signe, avec « Le bien le mal le mal le bien ». L’un peut-il engendrer l’autre ?, son neuvième ouvrage aux Editions du Panthéon.
Magdeleine Plault livre dans ses écrits bon nombre de ses souvenirs ayant trait à sa jeunesse poitevine et à sa vie bouleversée par la guerre. A travers ses ouvrages, une vie se dévoile mais également une époque révolue. Magdeleine Plault raconte son enfance dans le Haut-Poitou, relate la vie sous l’Occupation, et plus tard, la détresse d’une famille qui perd un époux, un père. Mariée à 19 ans, mère à 20 et 21 ans, veuve à 26 ans… Magdeleine Plault juge qu’il n’y a rien à ajouter à cela, une vie faite de travail et vouée à l’éducation des enfants, une vie avec des hauts et des bas. Son combat, Magdeleine Plault le mène maintenant contre la maladie, en écrivant. Elle compose, de mémoire, et dicte à son auxiliaire de vie le soir. Le lendemain, elle reprend ses écrits pour les corriger.