Thème : Témoignages

Un enfant de Thagaste

« Pour moi, la mémoire est un trésor bien plus essentiel que n’importe quelle richesse. Quand les souvenirs s’envolent, il est impossible de les récupérer. Les miens sont ceux d’un enfant de Thagaste, ville où vécut saint Augustin, qui deviendra plus tard Souk-Ahras. L’olivier, sous lequel il se reposait, se situe sur la colline derrière ma maison natale. »

L’auteur nous entraîne dans le temps à la découverte des chemins de son enfance, en Algérie. Dans ce récit émouvant et nostalgique construit à rebours, nous suivons ses pas dans le pays de ses rêves, une terre devenue imaginaire où vivent à jamais les personnes et les paysages qu’il a aimés. Un témoignage riche et sincère qui ravivera les souvenirs des uns et embrasera de flammes douces l’imagination des autres.

Brisure, la renaissance

« Devenir autonome était devenu mon seul et unique but. L’étape cruciale à franchir était d’enclencher le processus et de cheminer jusqu’au jour où j’aurais atteint mon but. Mon défi était de ne plus centrer mon attention sur l’anxiété et la culpabilité, mais plutôt m’appliquer à faire circuler une énergie positive sans justifier mes sentiments. »

Un accident survenu lors d’un plongeon dans une piscine paralyse Sylvain Bureau, cinq mois après la mort de son frère aîné. Par amour pour sa famille et en dépit d’une féroce dépression, il trouve la force et le courage d’exister, de continuer à goûter le sel de la vie malgré son handicap. Un témoignage poignant et sincère qui porte une immense détermination et un espoir sans bornes en la beauté de l’existence.

Jacques a dit… suce !

« Puisque personne ne rêverait pour moi, je me suis mise à rêver de grandeur toute seule ; souvent, le pire vous fait espérer le meilleur.
Parfois, aussi, du pire naît le meilleur… »

« Jacques a dit… suce ! », tout est dit.
La Bergerie, un établissement évangélique comme on en trouve peu : une secte à dire vrai.
Charlie Vincent, fille unique, nourrisson, y est placée. Elle y restera 18 ans et y connaîtra tout.
À la Bergerie, le secret est partout et le silence, un choix. Jusqu’à aujourd’hui. Charlie raconte le pire et ne nous épargne rien : une histoire brutale, folle, puissante et vivante, comme Charlie, la folie en moins. Un cri à la mort mais qui transpire la vie. Une leçon.
« Jacques a dit… suce ! », un récit bouleversant, qui dérange.

Corbacabana

« Tous doivent tirer dans le même sens pour permettre à la personne de se reprendre en main, de sortir du déni, de réaliser le mal fait et de trouver le chemin incertain pour se reconstruire.
Sans découragement et sans illusion… »

Être écrivain public bénévole en centre pénitentiaire bouleverse l’angle de vue sur les personnes détenues : c’est rencontrer l’humain plutôt que le délinquant ou le criminel.

Ce qui se déroule derrière les murs d’une prison demeure, pour la plupart d’entre nous, mal connu voire fantasmé. Au travers de 57 portraits, ce témoignage nous donne à entendre le bouillonnement des voix et des appels qui résonnent derrière les grilles. Dérangeant et nécessaire.

Revoir Yangba et Nkongsamba

« Comme disaient les aïeux, le monde est vaste. Il faut le visiter, de jour comme de nuit. Point n’est besoin de le craindre. Il y aura toujours des étoiles qui aideront l’aventurier à atteindre l’autre rive, à condition qu’il n’oublie pas le vieux village. »

Il était une fois un jeune garçon qui grandit parmi le peuple babouté… Sur les chemins poussiéreux, sous un soleil de plomb ou parmi les gouttes de rosée, dans la forêt, la savane et en ville, Calvin Djouari nous emmène parcourir ses souvenirs et visiter le Cameroun de son enfance.
Chacun de nous porte en lui sa terre natale, son propre Yangba. Mémoire intense des parfums et des visages aimés, ou réminiscences fugaces, ce récit s’autorise le lyrisme pour évoquer les impressions d’autrefois, si vives encore dans nos esprits.

Michel Auclair, qui je suis et d’où je viens

« Ce que je me rappelle de mon enfance, ce ne sont que de bons souvenirs. Des journées entières à jouer dehors en hiver et, l’été, faire des cabanes dans le bois et explorer la forêt. Des parents extraordinaires et des grands-parents pleins d’amour et de générosité. Des Noëls formidables où on recevait plein de cadeaux, avec tante Germaine comme père Noël, qui chantait et nous faisait rire. Si vous me trouvez drôle, des fois, ne vous demandez pas où j’ai pris ça, les Brindamour étaient tous drôles et tous de bons vivants qui aimaient rire, raconter (des fois, en forçant un peu la vérité), chanter, taquiner et prendre un petit verre. J’ai vécu vraiment les Noëls d’autrefois. »

En remontant sur le fleuve du temps jusqu’à 1666, Michel Auclair raconte l’histoire de ses ancêtres pour nous amener ensuite jusqu’à la sienne : il a mené une vie d’aventurier, extraordinaire et hors normes, où il a su obtenir, à force de foi et de persévérance, tout ce qu’il a souhaité.
Né au Québec, il a sillonné les routes enneigées du Canada, s’est marié, a continué à bourlinguer… Car l’aventure, au fond, elle est surtout quelque part en soi, avant d’être au-dehors

Z’Handivie’f

« Je ne regrette pas la vie que j’ai vécue, seulement peut-être toutes celles que je n’ai pas vécues. »

Paralysé à seulement quelques mois suite au vaccin de la variole, c’est à la force de sa volonté et avec l’aide inconditionnelle de sa mère que l’auteur va surmonter son handicap et prendre pleinement possession de sa vie, ou plutôt de ses multiples existences.

À la tienne, Étienne…

« Seigneur, faites que je ne sois pas jalousé pour m’avoir laissé si longtemps en bon état pour cette dernière étape, qui fait que mes proches pensent qu’elle est prolongée. Moi, je sais que lors de la pesée des âmes, il me sera demandé ce que j’en aurais fait de ce rab de vie douce, si rarement attribué. »

Une série de rubriques, graves, tendres ou humoristiques, d’un nonagénaire qui revient sur ses souvenirs du temps jadis, avec émotion et fantaisie. On croise dans ses récits l’occupation allemande, le temps des colonies, le plat pays, le pensionnat, les habitudes à la brasserie de banlieue, la vie hors du temps dans les villages du Cantal, mais aussi les observations désabusées d’un vieil homme sur son temps et ses colères…

Putain d’avion

« Ce qui importe, c’est la sagesse, commune à toutes les religions, quelles qu’elles soient. Vivre sa vie au mieux, dans l’harmonie de la nature, des êtres, de nos semblables. Profiter de l’existence, pas seulement au sens épicurien et matérialiste, mais au plus profond de nous, dans la spiritualité recherchée. Une fleur qui s’ouvre ne dure que quelques jours, mais elle laisse son empreinte de beauté dans notre nature, pour peu que nous jouissions de sa merveilleuse expression. »

Un chasseur s’écrase sur le tarmac de la base de Los Llamos, à Albacete, en Espagne, le 26 janvier 2015, à 15 h 16, tuant 11 aviateurs parmi lesquels le pilote Gildas Tison. Dans ce témoignage poignant, son père livre tout à la fois son chagrin, ses incertitudes, ses souvenirs et ses difficultés à faire le deuil du fils tant aimé. En le suivant dans ses recherches, on réalise avec lui qu’une autre voie est peut-être envisageable…

« Non, Gildas, tu n’es pas mort ! »

Tim et les pavés mouillés de la rue du faubourg

– Je m’appelle Tim.
D’un air timide, il commença à lire. Ses paroles revinrent mot par mot à mes oreilles, formèrent un écho dans ma tête, et je sentis tout à coup mon cœur battre d’un rythme de légèreté irrégulière et joyeuse. Je levai la tête, stupéfait, immobile. Que se passait- il ?

L’auteur jette un regard en arrière sur la magie qu’il a vécue avec Tim, adolescent. Avec délicatesse et authenticité, il décrit l’amitié hasardeuse et platonique qui les lie et se transforme, peu à peu, en un amour dévorant. Alors adulte en devenir, le jeune Pierre Olivier a traversé les abîmes d’une relation houleuse, empreinte de passion et nous ouvre aujourd’hui son cœur, sans la moindre concession. Un témoignage sincère et un brin nostalgique qui pousse à la réflexion.

Belle échappée…

« L’écriture que je vous propose ne signifie pas une vérité précise  : ce sera un récit, entre l’Histoire et mon histoire. Ma mémoire a toujours eu des errances, mais elle ne déformera aucunement l’essentiel, ni l’esprit, ni le résultat. Si mes souvenirs ont toujours été impressionnistes, si mes agendas, seules traces écrites que j’aie conservées lors de mon départ, sont pauvres en indications détaillées, l’ordre des choses et des événements est là, et le storytelling ne trahit aucunement la vérité générale. »

« Belle échappée » nous plonge dans une authentique épopée industrielle, celle de Michel Clerc et de l’équipe de la Division Système Échappement de Faurecia, filiale de PSA-Peugeot-Citroën. Ce récit, tissé autour de la vie de son auteur, nous entraîne avec nostalgie dans un temps où tout était possible, y compris la mutation d’une structure provinciale en une entreprise internationale. La vivacité du propos, la fermeté du trait, nous font revivre une aventure aussi bien professionnelle que personnelle.

Émaillé d’anecdotes savoureuses, ce témoignage offre également un singulier voyage à travers le monde. Des jacarandas, ces arbres aux fleurs mauves qui coloraient le ciel et les rues de Pretoria, aux églises de Buenos Aires, en passant par un picaresque séjour dans la Chine des années 1990, nous découvrons, avec une jubilation certaine, ce monde d’hier.

Parcours atypique d’un autiste

Après quelques minutes d’observation de mon comportement, ce médecin fut le premier à diagnostiquer l’autisme. Il rassura ma mère en l’informant que les troubles qui m’envahissaient s’atténueraient.

Après une enfance difficile et semée d’embûches, Aurélien est diagnostiqué autiste Asperger à l’âge de 14 ans. Dans ce livre, il nous dévoile un parcours tortueux à travers les différentes structures d’accueil spécialisées dans les troubles qui l’affligent. Il témoigne avec sensibilité d’une évolution progressive de sa personnalité, à son rythme, toujours accompagné par une famille courageuse et déterminée à mettre toutes les chances de son côté.

Il a coécrit ce témoignage avec Catherine Rosse, sa mère.

Le Cotentin et ses habitants…

Carnet historique racontant l’odyssée d’une population, l’ouvrage de Pierre Mouchel retrace l’évolution d’une terre sauvage entre côtes dentelées et bocages verdoyants. Bout du monde français sur la carte, irlandais dans les paysages, la presqu’île du Cotentin, voisine immédiate de l’Angleterre, est un mélange à la fois abrupt et merveilleux que l’auteur dépeint au fil des pages. Et si son histoire est si passionnante, c’est parce qu’elle permet de comprendre ce qui a modelé les ancêtres et la vie même de cet homme.

Léopold Sédar Senghor disait souvent « Si tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens ». Précieux conseil qui est un encouragement à remonter à ses racines afin de mieux comprendre son évolution. Une belle façon pour l’auteur de ne pas être amputé de la conscience des atavismes et traits de caractère transmis par ses ascendants.

Face à un monde en pleine mutation, Pierre Mouchel en profite pour relativiser les peurs légitimes dues aux changements drastiques provoqués par la mondialisation et le numérique. L’enseignement du passé est fort et il ne faut pas en sous-estimer la puissance. Certes ce sont les hommes politiques qui provoquent le mouvement, mais c’est la société civile qui agit, aujourd’hui comme à l’époque d’Alauna… Puisse ce récit transmettre au lecteur, non seulement le goût de l’histoire mais aussi le penchant pour l’optimisme.

Un prêtre au pays du Carnaval

« Un prêtre au pays du Carnaval » est le récit fidèle d’un parcours remarquable révélé par une rencontre déterminante dans un cadre tropical envoûtant. L’auteur, en mission culturelle au Brésil, croise le chemin d’un prêtre français, Père José, curé d’une paroisse dans la banlieue ouvrière de São Paulo. Une amitié naît…

Le Brésil est un pays immense aux beautés naturelles fascinantes. Son dynamisme industriel a de quoi étonner. Il est toujours prêt à faire la fête… Et pourtant, une grande partie de sa population vit dans des conditions difficiles comme en témoignent les favelas.

Bernard Lucquiaud raconte, dans un style fluide et sur le ton de la conversation amicale, l’engagement total du Père José au service des plus pauvres, surtout pendant la dictature militaire. Il rend hommage à l’humanisme généreux de ce prêtre et à son action infatigable dans un Brésil profond, infortuné, pathétique et parfois violent sous son apparente nonchalance.

Les aventures et les réflexions de Bernard Lucquiaud et du Père José éclairent en outre sur deux composantes de la vie des Brésiliens : l’extravagant phénomène Carnaval et le spiritisme occulte issu du métissage indien (les indigènes), portugais (les conquérants) et africain (les esclaves).

Une histoire vécue ; un livre captivant…

Deux Frères au Klondike… La véritable histoire

Ensemble, nous avons traversé le pays et la piste Chilkoot. Ensemble, nous avons bâti notre radeau et affronté le fleuve Yukon. Ensemble, nous avons touché le ciel, frôlé la mort, j’en suis persuadé. Ensemble, nous avons trouvé de l’or, beaucoup d’or.

Arrière-arrière-petit-fils d’un chercheur d’or de la ruée de 1898, à 55 ans et sans expérience, l’auteur se laisse entraîner par son frère dans un périple en Alaska et au Yukon, sur les traces de leur ancêtre. Sur la légendaire piste Chilkoot et à bord du radeau qu’ils ont construit, les deux frères vivent plus qu’une expédition dans le Grand-Nord. De rencontres en rencontres, ce voyage dans le temps les transformera à jamais.

Angélique : l’empreinte d’une vie

Le 13 octobre 1996, le corps d’Angélique Dumetz, 18 ans, est retrouvé dans la forêt de Compiègne. Le meurtrier laisse une unique trace : son ADN. A l’époque, il n’existe aucun fichier national des empreintes génétiques : la famille de la victime entame alors un combat pour la création d’une telle banque de données. Dans un récit retraçant l’avènement de la police scientifique et la naissance de la première cellule française dite « cold case », l’auteure rend hommage à ces parents dont la quête de vérité a fait date dans l’histoire judiciaire française.

Mi-ombre, mi-lumière

« Ce rituel se faisait chaque jour et fumer un joint à cette époque était encore occasionnel.
Après avoir fini, j’étais décontractée, seule. Je pris le chemin qui me donnait l’accès à mon travail. »

En 2005, Claire Chardin voit sa vie basculer : sa consommation quotidienne de cannabis l’entraîne progressivement dans une schizophrénie délirante. Cette maladie du cerveau affecte sa pensée, ses sentiments et ses comportements.

Encore troublée mais désireuse de lever le voile sur l’un des épisodes les plus noirs de sa vie, elle détaille avec sincérité les souvenirs marquants de sa psychose chronique et souhaite sensibiliser les jeunes et leurs familles à cette maladie trop souvent sous-estimée.

Regardons vers la lumière

« Dans toute relation, à un moment ou à un autre de notre vie, nous avons fait des promesses, il nous en a été fait, pour la plupart non tenues.
Tout notre être a été animé de joie ou de déception selon les circonstances.
Nous vivons au rythme de ces espérances. L’espoir, c’est bien cela qui guide notre vie. « L’espoir fait vivre », dit-on, mais que signifie cette expression ? Que nous devons croire aveuglément en quelqu’un ou à quelque chose ? »

Dans ce livre, Catherine Mirande explore les croyances qui nous privent d’un bonheur et créent des souffrances inutiles. Le chemin est tortueux et semé d’embûches, mais quelle satisfaction de parvenir à dépasser le stade des illusions perdues. C’est dans un ensemble structuré, qu’elle démontre comment se libérer du conditionnement collectif afin de retrouver un enthousiasme et la voie de sa propre liberté intérieure.

Elle révèle ainsi des éléments essentiels pour transformer sa perception de la vie. Du temps des promesses à celui des regrets, du temps du pardon à celui de l’oubli, Catherine Mirande nous entraîne dans la quête de la sérénité.

Un Printemps à Paris

« (…) le sujet est techniquement inépuisable, sinon affectivement indispensable, empli de richesses inouïes, de petites et de grandes histoires, d’une identité en constante réévaluation. Paris vaut bien encore un petit ajout, une modeste contribution. Et c’est l’énergie qui motive ces quelques évocations. »

À chacun son Paris et son imaginaire parisien. Ville fétiche, ville lumière, Paname vit de son histoire et de ses multiples facettes. Capitale politique, économique, culturelle, cosmopolite, carrefour des idées et itinéraire des artistes, Paris est riche de tout ce qui la caractérise.

Véritable promenade au cœur d’un Paris qui n’appartient qu’à l’auteur, ces pages racontent ainsi des siècles d’urbanisme, les variations imperceptibles du temps, de la vie des quartiers et des monuments. Au fil de la balade s’entremêlent alors un chapelet d’anecdotes et mille détails qui font battre le pouls d’une grande cité.

«Un Printemps à Paris» est la déclaration de Christophe Agogué à sa ville natale, avec toute la tendresse et l’humour distancié qu’on lui connaît.

Chaque jour un peu moins

« Le manque de spontanéité est pallié par une réflexion dont la résolution est souvent limitée à une simple approbation ou désapprobation, mais qui bien souvent me suffit : en gros, je ne parle plus pour ne rien dire. Je deviens une sorte de moine qui mûrit sa réflexion sur le monde qui l’entoure, y compris sur mes interlocuteurs de réseau qui me procurent un feed-back appréciable. La communication écrite m’a toujours plu, anyway. »

En 2015, Olivier Brenkman se heurte à un diagnostic implacable : il est atteint de la maladie de Charcot. Comme sa main ne peut plus écrire et que sa voix l’abandonne, il commence à communiquer à l’aide d’un ordinateur. Grâce à son œil, les lettres et les mots peuvent alors se former et plus que tout, lui permettre d’entretenir le lien avec ceux qu’il aime.

C’est ainsi qu’il nous emporte dans le tourbillon de ses pensées. De la perte d’autonomie à la découverte de contrées lointaines, il raconte la solidarité d’un village, la force des liens qui l’entourent et son corps devenu une prison pour son cerveau. Grâce à l’amour indéfectible, le courage et la résolution des siens, il entame un nouveau combat, celui d’une nouvelle vie, une façon pour eux comme pour lui de repousser l’inéluctable.

Son cerveau déborde d’intelligence et son œil vif réagit à tout, scrute l’entourage, manie l’humour, la dérision, les jeux de mots… Car au-delà de tout, Olivier Brenkman est un homme lucide et profondément vivant.