Thème : Témoignages

La Sagesse humaine de l’Enfant intérieur

« Sois dans la confiance en toi. Sache, Enfant, que tu fais partie de l’Être Divin en tes sensations, en tes prémonitions, en tes intuitions provenant directement de Dieu. En ce qui concerne ta rencontre avec l’Homme, tout ce qui a été dit ou écrit est parfaitement juste et le reste pour ton futur. »

L’auteure partage avec ses lecteurs des messages qu’elle a reçus directement de ses anges, mélanges de maximes, de déclarations d’amour et de demandes l’invitant à davantage de rectitude. Son expérience de croissance spirituelle est un exemple pour tous et une inspiration pour ceux qui cherchent à s’élever vers le Divin dans le respect des principes de la justice et du bien.
Dans ce nouvel ouvrage, Véronique Klesse avoue ses doutes, ses hésitations et son impatience ; elle rassure par son humanité et encourage chacun à poursuivre son cheminement spirituel.

Aux élèves, on ne doit demander que ce dont ils sont capables

« Il fallait que je laisse tomber mes certitudes, mes représentations, que j’observe, que j’échange. Il fallait que je les fasse avancer petit pas par petit pas, à leur rythme et à leur niveau, en trouvant un moyen motivationnel de les faire progresser sur leurs apprentissages, en essayant, en testant et en me risquant à des pratiques nouvelles pour la réussite des élèves. Ils ne me posaient pas de problèmes de discipline, j’avais la chance d’avoir un climat de classe serein et une équipe d’enseignants engagés dans des pratiques adaptées, à l’écoute, prête à m’aider et à construire. J’étais dans un environnement propice au changement. »

Les élèves d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes qu’auparavant et il est important d’accompagner ce changement. Afin que tous les élèves réussissent, David Bourgeois propose de s’intéresser davantage à la capacité de progression de chacun plutôt qu’à la mise en place de séquences disciplinaires globales. Il est ainsi question dans son ouvrage de valorisation, de cohésion, de travail de groupe, mais aussi et surtout de pédagogie.

Le sel de nos vies

« En quelques semaines, je décide avec Sarah de mettre en place un projet sportif, qui soit aussi une action solidaire de  tous  ceux  qui  mènent  le  combat  contre  la  mucoviscidose. Ensemble, nous souhaitions que ce projet soit plus qu’une aventure familiale. Ce devait être un défi qui nous porterait plus loin que nos petites personnes, notre cocon nucléaire ! »

Rejoindre à vélo le Centre de Ressources et de Compétences de la Mucoviscidose de Roscoff dans le Finistère depuis Carry-le-Rouet dans les Bouches-du-Rhône, soit un périple de 1 500 km, c’est le défi un peu fou qu’Emmanuel de Calan a relevé en 2021.
Tout à la fois récit de voyages, recueil de témoignages et d’informations médicales, « Le sel de nos vies » touche du doigt ce qui rend belles nos existences, malgré les doutes, malgré les blessures.

Mes rencontres sur les sites de rencontres

« Aujourd’hui, le couple idéal, c’est chacun chez soi et l’on se voit le week-end. Entre les gardes partagées, les week-ends sur deux, les pères qui passent leur tour et les couples en guerre, l’honneur est aux mecs sympas de mon style qui accueillent facilement chez eux, qui font un petit repas suivi d’un bon massage. »

Les relations hommes-femmes vues à travers les prismes des applications de rencontres : Sonny Séverin raconte les conquêtes, d’un soir ou de quelques nuits, les petits et grands arrangements avec la vérité. Sans concession pour les fausses pudeurs, il dévoile les rouages qui entraînent ces nouvelles mécaniques amoureuses : stratégies commerciales, consumérisme, marchandisation de l’autre.

Le cheminement selon Kim – De l’ombre vers l’immanence de ma quintessence

« il nous faut arrêter de nous retrouver en position d’autosabotage. Ainsi, pour y arriver, on se doit d’aller à la découverte de son soi intérieur. Il nous faut prendre conscience de nos forces et faiblesses, les reconnaître en toute humilité, afin de les travailler, de façon honnête et réelle, et ainsi nous permettre de cheminer. »

Vivre avec des émotions qui vous débordent, une empathie qui vient petit à petit dévorer toute sérénité, c’est le quotidien que l’auteure décrit. Hypersensible, elle a éprouvé toute la gamme des sentiments, des plus beaux aux plus angoissants.
Son cheminement l’a conduit à accepter son rôle, celui d’une messagère, pour évoluer, grandir et finalement guérir du mal de vivre.

Être Fille Unique

« « En tant que fille unique, on m’enviait, on me disait :
« Mais tu as une super grande chambre ! »
Ce n’était pas d’espace dont j’avais besoin mais de présence. On plaque des généralités sur les filles uniques. On dit qu’elles sont capricieuses, trop gâtées, égoïstes. Moi, j’ai toujours voulu partager. Très tôt, mes parents m’ont envoyée chez un psy qui a dit à mon père qu’il me couvait trop. Il l’a mal pris. »

Grandir seule, sans partager ses jeux, ses joies, ses chagrins avec des frères et des sœurs. Se construire sans la complicité d’une fratrie. Et plus tard, porter seule la responsabilité de parents vieillissants. « Par contre, on n’est pas obligées de partager notre chambre, nos jouets, ou la dernière part de tarte ! » disent-elles. C’est aussi cela être fille unique.
À travers des rencontres avec des femmes de toutes origines, de quatorze à quatre-vingt-cinq ans, les auteures explorent ce domaine jusque-là inédit. Leurs témoignages constituent de passionnantes biographies qui font découvrir les parcours familiaux, professionnels, amoureux et les attentes de leurs parents qui, misant tout sur elles, les obligent à réussir. Les mots de ces femmes, émouvants, parfois durs, souvent drôles, révèlent la singularité de leurs existences.

Il est temps

« Notre façon d’agir en tant qu’adultes influence celle de penser de nos enfants et les rend de moins en moins libres de penser par eux-mêmes. Tout cela stoppe leur véritable créativité qui leur permettrait de garder leur pouvoir intérieur pour avancer sur leur chemin. »

Dans ce témoignage sincère et empreint de bienveillance, l’auteure raconte les traumatismes subis depuis sa plus tendre enfance, qui ont mené à un puissant éveil spirituel.
Elle a su identifier et embrasser ses faiblesses et ses blessures émotionnelles afin de pouvoir grandir à travers elles. Une belle leçon de résilience.

Délire sur Dieu écrit par un bipolaire – Tome II

« Chaque chose viendra en son temps, pense d’abord à ta santé et garde contact avec le concret et la réalité car sinon tu risques de t’enfermer dans une prison psychique… »

Dans ce second opus, Daniel Cunha poursuit sa quête de sens à travers ce journal qui relate son quotidien avec la bipolarité, maladie invalidante qui teinte chacun de ses gestes. Sa réflexion porte sur le rôle de Dieu dans nos existences et sur l’origine de l’Homme sur Terre. L’auteur revient ensuite par strates à l’infime fil doré qu’est sa vie dans l’infinie pelote du destin, pour mieux se comprendre et cohabiter avec sa maladie.

Marco à roulettes – Tome 2

« Certaines de mes conversations me permettent d’oublier ma situation actuelle et me donnent de l’espoir. Mais malgré tout cela, il est difficile pour des correspondants internet de comprendre et de réaliser l’ampleur de mon handicap et ce que cela implique. »

Comment les « valides » considèrent-ils les personnes en situation de handicap ? Marc Cadoret témoigne à travers sa propre expérience des préjugés dont il est l’objet. Il évoque également la pénurie d’auxiliaires de vie, les difficultés financières, tout ce qui fait le quotidien du porteur de handicap.

Le chemin jusqu’à nous

« Cette réalité qui nous rattrape, celle où l’on s’aperçoit qu’on a tout faux, que l’on se trompe de chemin, que ce que l’on vit n’est pas en accord avec ce que l’on ressent, beaucoup de mamans l’ont vécu comme moi. Parfois, cette frustration existe parce qu’on n’a pas le choix. Il n’y a aucun jugement dans mes propos. »

À 30 ans, Alicia a passé plus de la moitié de sa vie à souffrir d’endométriose. Cette maladie a fait de sa vie un cauchemar durant des années. Pourtant, malgré les douleurs physiques, malgré les souffrances morales et psychologiques, elle a toujours conservé, défendu, entretenu la rage de gagner son bonheur et d’embrasser un jour la maternité. Pour autant, devenir parent n’est pas qu’affaire de gestation. Cela exige de s’apprendre soi-même, d’apprivoiser la confiance, la rendre éclairée.

Dans le cockpit

« Supersonique ! Banzaï, la pression monte. Si je ne peaufine pas ma géométrie d’interception au degré et au nœud près, je risque de me faire transpercer par cette fléchette supersonique sans jamais pouvoir la rattraper. Et ce sera un échec retentissant. La sueur perle sur mon front, alors que je croise déjà le niveau de vol FL 200 en montée et que je traverse le mur du son à pleine charge postcombustion. »

Point de fuite sur un horizon hérissé d’épreuves, le vol à bord d’un avion supersonique. C’est le Graal atteint par l’auteur, devenu à vingt-quatre ans pilote de chasse sur Mirage 2000 puis sur CF-18. Né gaucher dans un monde voué aux droitiers, il a franchi tous les obstacles d’une formation implacable pour s’extraire de la gravité terrestre et de la droiture imposée. Il a aussi appris à dépasser la peur et à faire corps avec sa machine, des nécessités vitales durant chaque mission.

Côte à Côtes

« La course à pied est un sport individuel. Seules mes jambes me permettront d’avancer. C’est un fait. Je prends le départ d’une course et franchis la ligne d’arrivée, pour un classement individuel. En théorie, je n’ai besoin de personne ni de matériel, pour parvenir à mes objectifs… En théorie. »

Dans ce second opus, Julien Leroy nous entraîne à nouveau dans ses aventures de sportif amateur. Nous découvrirons cette fois-ci les sentiers escarpés de la Diagonale des Fous, les Dolomites ou encore les Highlands écossais…
Un voyage haletant, qui célèbre ce qu’il y a de plus beau dans le sport : le dépassement, la découverte, et la complicité qui se créent autour de ces activités.
Julien Leroy partage avec enthousiasme et ferveur sa passion pour le sport de pleine nature. Il dévoile la force qu’apporte le collectif dans cet accomplissement de soi individuel.

C’est le Mektoub, Joseph…

« Quelle aventure à cette époque pour un gamin pas peu fier de ce privilège, que le vol au-dessus de la Méditerranée, dans le ventre impressionnant du gros DC4 à hélices, jusqu’à Marseille-Marignane ! C’est bien sûr aussi pour moi, la découverte de la France métropolitaine, celle de « nos ancêtres, les Gaulois » que nous enseignaient nos maîtres d’école, connue uniquement au travers des livres de géographie ou des bribes de récits saisis au vol des conversations de nos proches, anciens de l’Armée d’Afrique. »

L’Algérie, quittée il y a plusieurs décennies, brille de tous les feux du souvenir dans ce récit mêlant la grande et la petite histoire. Par le prisme d’une saga familiale dans lequel de nombreux Pieds-noirs se reconnaîtront, Gérard Guibilato restitue l’ambiance et les couleurs, comme les paradoxes et les fausses certitudes dans lesquels étaient enveloppés les habitants de la colonie.
Dans une histoire universelle du déracinement, depuis ses ancêtres napolitains qui émigrèrent en Afrique du Nord jusqu’au rapatriement de sa famille et son installation en France, l’auteur brosse ce portrait d’un peuple, évoque un pays qui n’existe plus et une guerre qui mit fin à un rêve, en une toile de fond encore prégnante de nos jours.

Le sentier de la liberté retrouvée – Tome I

« Les cercles magiques constituent à leur base la Trinité, le triple Sceau : ils sont le grand symbole. Lorsqu’ils sont superposés, ils signifient « ouverture ». Les cercles entrelacés signifient l’union des trois Principes ; disposés de façon évidente, ils dévoilent les forces. Du cercle sortent toutes les forces. »

Amiel et Gaël, ainsi nommés par la Source lors de canalisations avec le monde angélique, ont retranscrit dans cet ouvrage les messages reçus par Amiel. Entre exploration psychique et observation des mondes visible et invisible, ces transmissions ont pour but de nous connecter à nous-mêmes et de nous bousculer afin de mieux nous comprendre. Dans ces pages, les auteurs cherchent à apporter au lecteur l’aide et la compréhension de sa propre humanité.

Coquille.

« Il serait plus humaniste de viser un épanouissement collectif plutôt que de constamment prôner un développement personnel. »

L’autrice nous fait entrer dans sa coquille qui, comme un kaléidoscope, se révèle sous ses mille et une facettes. Exploration des sens et des émotions sous forme d’un journal poétique, Coquille. nous mène à toucher délicatement le voile ténu qui se forme sur l’existence pour qui connaît ce bonheur douloureux du trouble de la personnalité limite ou borderline et de l’hypersensibilité en résultant. Un triptyque marquant 365 jours d’une évolution, plongée vers l’intérieur, renversée vers l’extérieur.
Émotions à foison, souvent intenses, quelquefois socialement inadaptées, forment le quotidien d’Odeline Flore Cerisier. Écrire canalise ce flux, écrire introduit de la distance là où régnait un maelström de sensations.

Rêver le monde

« La ville serait un endroit sans aucune voiture.
On n’entendrait plus ni le bruit des klaxons (biip-biiip)
ni le bruit des moteurs (vrrr-vrrr).
On se déplacerait avec nos pieds en marchant,
ou en roulant à vélo, sans bouchons pour nous bloquer ! »

Les enfants prennent la plume pour nous parler, il est temps de les écouter. À quoi rêve-t-on lorsque l’on a 6 ans ?
Que voient, que disent, que pensent les enfants lorsqu’ils rêvent notre monde ?
Équité, sens du partage, conscience aiguë des dangers qui menacent notre planète, ces enfants s’autorisent à écrire l’espoir et l’optimisme.« Rêver le Monde », c’est encourager la créativité et le travail collectif, permettre l’osmose entre un projet pédagogique et les talents de chacun.Les Éditions du Panthéon et ses partenaires ont contribué pour que tous les bénéfices de cette édition soient intégralement reversés à l’Association Coup de Pouce, afin qu’elle étende son dispositif de prévention du décrochage scolaire précoce et poursuive sa mission pour l’égalité des chances au sein de nos écoles.

Assistante maternelle : rompre avec le silence

« Encore une fois, je suis seule face à la situation. Si je ne dis rien, je suis témoin, non-assistance à personne en danger et donc complice. À l’inverse, si je dis quoi que ce soit, la maman peut se braquer et ne plus me faire confiance. »

Son CAP Petite enfance en poche, la narratrice commence sa carrière d’assistante maternelle. Elle découvre sa profession avec enthousiasme et une passion toujours renouvelée, jusqu’à ce mois de décembre 2020.
Que faire lorsque l’on se rend compte de maltraitance au sein d’une famille ? Comment agir au mieux des intérêts de tous, et de soi. Car l’assistante maternelle peut à son tour se voir accusée, y compris à tort.

L’enfant en difficulté d’Être

« Cette naissance laborieuse, à l’aube, imprima en elle les marques mnésiques de l’abandon. Elle se sentait perdue et épuisée après une bataille acharnée pour s’extirper des entrailles maternelles, dans une notion de perte définitive de la matrice non seulement de matière, mais également de subtilité d’un corps transmuté en lourdeur à accepter. »

Après trois essais consacrés à la voix, dans sa portée humaine et spirituelle, Véronique Klesse explore un continent plus intime. Ses expériences de vie sont ici mises au service de ses idées, sans fausse pudeur, à la recherche d’une conscience élargie et avec un grand respect pour le sacré et le divin.
D’abord rédigée à l’intention de sa fille, pour l’éclairer et l’accompagner, cette autobiographie se révèle d’une portée plus étendue. Elle dit comment en s’extrayant des traumas de la prime enfance, une femme a conquis de haute lutte sa liberté spirituelle. Une relation lumineuse soulignée par l’enfant en un refrain émouvant : « Un jour je serai comme elle ! »
Toute existence a un sens sur terre. Véronique Klesse le dit, l’écrit, le chante. C’est son étendard, la force de son témoignage.

Une minute

« On nous invite à rester dans nos fauteuils, pas trop loin du frigo et des cacahuètes. Les salles de sport sont fermées, les stades sont vides, la mer est prohibée. […] Il vaut mieux accepter nos petites détresses dans le silence de l’immobilité plutôt que d’expulser nos toxines en accélérant nos battements de cœur. Pourtant, les longues balades au soleil valent bien mieux que toutes les ordonnances de Lexomil. »

Trois semaines après le début du confinement du printemps 2020, l’auteur nous livre toutes les pensées qui lui traversent l’esprit au réveil. Le temps d’une longue minute, les doutes l’assaillent et les questions qui nous ont tous interpellés lors de cette période inédite lui viennent en tête. Dans ce texte bref et clair, il résume la peur, l’intolérance et les merveilleuses initiatives qui ont marqué ces quelques semaines… et le « monde d’avec ».
Acteur reconnu de la vie associative martiniquaise, Emmanuel de Reynal œuvre dans le domaine de la publicité régionale. Il est l’auteur de « Ubuntu, ce que je suis », (L’Harmattan) et de « Recta Linea » (Éditions du Panthéon).

Je navigue entre deux mondes

« Chaque cas est unique. S’il y a un seul petit avantage à ranger les gens dans des cases, c’est que cela peut – éventuellement – les aider à façonner une identité. Le problème n’est pas tant que l’on nous glisse un peu trop vite dans les tiroirs. Après tout, le gros problème de ma vie a longtemps été de ne pas trouver la case qui me correspondait. On a parfois besoin d’une case collective pour savoir à qui s’identifier : cela peut aider à la construction personnelle. Le problème est plutôt qu’aux yeux des gens, cette case reste nécessairement figée. »

« Pour rien au monde, je n’échangerais ma vie contre celle d’un neurotypique ». Aurélie Cevennes est née autiste. Un mot qui, aujourd’hui, ne veut plus rien dire tant il recouvre d’acceptations différentes au regard des progrès des neurosciences. Il n’empêche, avec sa famille, cette jeune Belge de 28 ans a traversé toutes les épreuves liées à sa différence : un diagnostic très tardif ; une scolarité chamboulée ; des relations sociales marquées par l’incompréhension, les moqueries et les mises au ban ; un départ difficile dans la vie professionnelle, etc. Aujourd’hui, elle est fi ère de ce qu’elle est devenue : une jeune adulte assumant pleinement ce qu’elle est, débarrassée de ses complexes et de ses angoisses. Pour y arriver, elle s’est battue d’arrache-pied contre les préjugés, les codes dominants et les conventions sociales aveugles.